Burberry dit adieu à la fourrure
Marco Gobbetti, directeur général de la maison, ne souhaite pas laisser le temple du trench sombrer. Toutes les mesures sont bonnes pour booster l’image de la Maison et faire rayonner ses valeurs éthiques.
" Le luxe moderne est à la fois socialement et écologiquement responsable. Nous allons maintenant être plus soucieux de l'environnement en tant que maison de couture "
Déclare Gobetti qui promet de s’engager d’avantage aux questions environnementales en adoptant, pour démarrer, deux mesures radicales : l’abandon de l’utilisation de la fourrure, ainsi que la "non-destruction" des invendus.
En effet, d’après le rapport annuel de la maison, plus de 30 millions d’euros de marchandises aurait été détruites. Un gâchis qui doit absoluement cesser.
En attendant, Riccardo Tisci dévoilera sa toute première collection de prêt-à-porter le 17 septembre prochain à Londres.
A suivre…