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Marc Jacobs Party à l’hôtel The Pierre à New York en 2004.
Marc Jacobs, Brandy Wine et Dita von Teese à la Holiday Party Marc Jacobs, à l’hôtel The Pierre à New York en 2004.

“Croire dans les personnes est une posture fondamentale de la Fondation Bettencourt Schueller.” Olivier Brault

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La Gravure est l’art dominant sur la seconde série limitée de deux nouvelles pièces : les Petite Heure Minute Relief Cochon. Ici, l’animal qui s’y apparente, un cochon sauvage, est représenté au-devant de huit chênes. Ce chiffre revêt une importance particulière à la fois pour la culture chinoise (symbole de fortune et bonheur) et pour Jaquet Droz, qui a notamment construit son modèle phare, la Grande Seconde, autour de son esthétique en forme d’infini. Le chêne est également un arbre symbole de puissance, de longévité, de force morale comme physique.

Pour la première création, numerus clausus de 28 pièces, la maison a choisi un boitier en or rouge de 43 mm, au sein duquel se déploie une gravure du même or accentuant le contraste avec le disque des heures et minutes réalisé en onyx. Ce même disque, d’un noir aussi pur que profond, est repris dans la seconde série limitée de huit pièces, cette fois réalisée en or blanc. Son boitier et ses cornes sont sertis. Sa masse oscillante, comme dans le premier modèle, représente le sanglier en gravure relief. Il surmonte une masse oscillante qui comporte une applique elle aussi en onyx. Avec grâce et émotion, la maison propose ainsi différentes lectures d’une année particulière illustrée par la richesse de ses Métiers d’Art.

«Some watches tell time. Some tell a story» 

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“Nos actions d’ouverture sont en phase avec les valeurs véhiculées par Société Générale, de solidarité, d’engagement et d’esprit d’équipe.” Frédéric Oudéa

 Avez-vous toujours voulu travailler dans le vin ? 

J’ai grandi dans une famille où le vin était purement alimentaire. Quand j’avais 17 ans, alors que j’aidais mon père volailler sur un marché, je suis tombée sur un vigneron bordelais qui a insisté pour me faire goûter un vin. Ca a été un choc esthétique. A chaque gorgée, je découvrais des arômes différents. J’ai voulu travailler avec lui pour comprendre. Au bout de 2 ans j’ai quitté mon école de théâtre pour me consacrer à son domaine viticole. Je suis arrivée à Paris à 20 ans, avec mes bouteilles de Bordeaux nature sous le bras. 

 

En tant que femme, avez-vous eu l’impression de devoir vous battre d’avantage ?  

Complètement. Je pense qu’il n’y a aucune honte à dire que le milieu du vin est un milieu misogyne. Je l’ai compris assez vite, en travaillant pour Marc Sibard, ancien directeur des Caves Augé, qui a d’ailleurs été condamné l’été dernier pour harcèlement sexuel. Il y a une omerta sur cette affaire, mais je trouve important d’en parler. 

 

Comment avez-vous monté Vins et Volailles ? 

C’est une amie, intermédiaire dans le vin à New York, qui m’a donné envie. On est partie ensemble  3 ans  pour rencontrer des vignerons indépendants spécialisé en nature. Je suis devenue une passeuse. J’essaye de trouver de jeunes domaines pour les faire connaitre aux cavistes et restaurateurs. Je le fais aussi pour les volailles de mon père. 

 

Qui sont vos clients ? 

Des tables parisiennes comme Septime, Vivant, La Fontaine de Belleville ou des épiceries et caves comme Papa Sapiens.  

 

Le milieu du vin est extrêmement codifié, ancré dans des traditions. Peut-il s’ouvrir aux vins nature ? 

Ca démarre tout juste. Même si certains sommeliers continuent à en faire une affaire personnelle, certains étoilés comme l’Astrance ou L’Arpège me font de petites commandes. Ce sont des vins conçus de la manière la plus pure et la plus transparente qui soit, et non lissés par des années de technique. Ils nécessitent de bousculer ses habitudes. 

 

Quel message avez-vous voulu transmettre avec Pur Jus ? 

C’est un outil pédagogique pour la viticulture naturelle. Avec Justine Saint-Lô, nous voulions rendre digeste un propos très technique. C’est parti du problème du Drosophila Suzukii, une mouche particulièrement dangereuse pour les vignes qui sévissait en 2014. Chaque vigneron rivalisait d’inventivité pour s’en débarrasser. Et nous avons décidé, non seulement de parler de leurs problématiques, mais aussi plus largement de leur vie.

 

Pur Jus, par Fleur Godart et Justine Saint Lô, disponible aux Editions Marabout

 

 

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