Britney Spears : 4 révélations explosives de ses mémoires "The Woman in Me"
Britney Spears raconte enfin son histoire selon ses propres termes avec la sortie prochaine de son nouveau livre de mémoires, "The Woman in Me".
Britney Spears, icône confirmée de la culture pop, est enfin prête à raconter son histoire selon ses propres termes. Bien qu'elle ait produit de nombreuses chansons qui sont restées dans l'air du temps de la culture pop et qu'elle ait donné des représentations emblématiques qui mériteraient leur propre livre de recettes, lorsqu'il s'agit de sa vie personnelle, ce serait un euphémisme de dire qu'elle n'a pas traversé beaucoup d'obstacles. Le plus tristement célèbre d'entre eux est sa mise sous tutelle judiciaire, qui a permis à son père de contrôler totalement ses décisions personnelles et financières pendant 13 ans. Ce n'est qu'à la fin de l'année 2021, lorsqu'elle a plaidé pour la levée de la tutelle, que la chanteuse a enfin pu recouvrer sa liberté.
Dernièrement, Britney Spears a de nouveau fait la une des journaux pour son divorce très public avec Sam Asghari. Des allégations d'infidélités, pour lesquelles ce dernier aurait voulu renégocier le contrat de mariage, le nom de Britney Spears ne peut rester hors de la bouche des médias bien longtmps. Mais pour les vrais fans de la chanteuse, ce qui retient l'attention, c'est la sortie prochaine de ses mémoires, "The Woman in Me", dans lesquelles elle revient sur sa carrière, son enfance, ses années de lutte et bien d'autres détails inédits sur sa vie. En prévision de la sortie des mémoires le 24 octobre 2023, L'OFFICIEL fait le point sur les plus grandes révélations apprises jusqu'à présent.
Elle était terrifiée par le serpent de sa prestation emblématique aux VMAs de 2001
La performance de Britney Spears aux VMAs 2001 est facilement considérée comme l'une des plus emblématiques de la cérémonie de remise des prix, où elle a tenu un python albinos tout en chantant "I'm A Slave 4 U". Elle a depuis rappelé qu'il s'agissait de l'une de ses performances préférées, mais dans des extraits de ses mémoires partagés avec People, elle révèle à quel point elle était terrifiée à ce moment-là. "Tout ce que je savais, c'était qu'il fallait regarder vers le bas, parce que j'avais l'impression que si je regardais vers le haut et que j'attirais son attention, il me tuerait", a-t-elle écrit. "Dans ma tête, je me disais : 'Fais ce que tu as à faire, utilise tes jambes et fais ce que tu as à faire'. Mais ce que personne ne sait, c'est que pendant que je chantais, le serpent a approché sa tête de mon visage, tout près de moi, et a commencé à siffler. Je me suis dit : 'Tu es vraiment sérieux, là ? La langue de ce putain de serpent est en train de s'abattre sur moi. C'est ça. Maintenant. Finalement, je suis arrivé au moment où je l'ai rendu, Dieu merci'."
Britney Spears est tombée enceinte de Justin Timberlake mais a accepté d'avorter
Tout le monde connaît l'ancienne histoire d'amour entre Britney Spears et Justin Timberlake, mais ce qui a choqué le monde, c'est la révélation par la chanteuse qu'elle était enceinte de son enfant et qu'elle a ensuite avorté parce qu'"il n'était pas prêt à être père". "C'était une surprise, mais pour moi, ce n'était pas une tragédie. J'aimais tellement Justin. J'ai toujours espéré que nous aurions une famille ensemble un jour", a-t-elle écrit. "Ce serait juste beaucoup plus tôt que ce que j'avais prévu. Mais Justin n'était vraiment pas heureux de cette grossesse. Il a dit que nous n'étions pas prêts à avoir un bébé dans notre vie, que nous étions bien trop jeunes." Elle poursuit : "Si cela n'avait tenu qu'à moi, je ne l'aurais jamais fait. Et pourtant, Justin était tellement sûr qu'il ne voulait pas être père."
Elle s'est rasé le crâne en 2007 en signe de rébellion
En 2007, après avoir fait les gros titres pour ses séjours successifs en cure de désintoxication, Britney Spears a été photographiée avec le crâne complètement rasé. Elle explique enfin pourquoi elle a fait cela, révélant qu'il s'agissait d'un acte de rébellion contre son père et contre l'attention et les critiques injustifiées qu'elle recevait constamment lorsqu'elle était enfant. "En grandissant, on m'a tellement regardé dans les yeux", écrit-elle. "Depuis mon adolescence, on me regardait de haut en bas, les gens me disaient ce qu'ils pensaient de mon corps. Me raser le crâne et jouer la comédie étaient mes moyens de riposte".
À peine un an plus tard, en 2008, elle a été placée sous tutelle judiciaire, ce qui a permis à son père d'exercer un contrôle total sur ses affaires personnelles et financières. Britney Spears décrit cette expérience comme l'ayant dépouillée de sa féminité, étant devenue "plus une entité qu'une personne sur scène". "Treize années se sont écoulées pendant lesquelles j'ai eu l'impression d'être l'ombre de moi-même. Je repense aujourd'hui au fait que mon père et ses associés ont contrôlé mon corps et mon argent pendant si longtemps et cela me rend malade", peut-on lire dans les mémoires. "Pensez au nombre d'artistes masculins qui ont perdu tout leur argent au jeu, au nombre de ceux qui ont eu des problèmes de toxicomanie ou de santé mentale. Personne n'a essayé de leur enlever le contrôle de leur corps et de leur argent. Je ne méritais pas ce que ma famille m'a fait".
Elle a failli jouer dans "N'oublie jamais" à la place de Rachel McAdams
N'oublie jamais est sans conteste l'un des films les plus appréciés d'Hollywood, et il était sur le point d'avoir une toute autre allure. Britney Spears a failli être choisie pour le rôle d'Allie, car le casting s'est joué entre elle et Rachel McAdams. Comme nous le savons tous, le rôle a finalement été attribué à cette dernière, une décision qui a soulagé la chanteuse. "Le casting de 'N'oublie jamais' s'est joué entre Rachel McAdams et moi, et même si cela aurait été amusant de renouer avec Ryan Gosling après notre passage au Mickey Mouse Club, je suis contente de ne pas l'avoir fait. Si je l'avais fait, au lieu de travailler sur mon album 'In the Zone', j'aurais joué le rôle d'une héritière des années 1940 jour et nuit", se souvient-elle.
