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Maria Schneider, une muse pas comme les autres

Scandaleuse, rebelle, victime et muse pas tout à fait consentante de la libération sexuelle, Maria Schneider, l’actrice de “Dernier Tango à Paris” et “Profession : reporter”, continue d’inquiéter l’érotisme moderne. La journaliste Vanessa Schneider, sa petite-cousine et première admiratrice, livre dans un récit autobiographique délicat quelques clés intimes de cette enfant blessée.
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Maria Schneider au Festival de Cannes, en 1975.
Daniel Gélin lui présente Alain Delon, qui l'aime "comme une petite soeur" et lui dégote son premier petit rôle, à 17 ans. Sans famille solide, Maria Schneider s'attire la tendresse d'autres personnalités fortes et blessées, qui semblent la reconnaître.

Protégée de b.b., Delon et Seberg

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Maria Schneider avec Jack Nicholson dans “Profession : reporter”, de Michelangelo Antonioni (1975) .
Maria Schneider avec son père Daniel Gélin, en 1978.
“Je ne reçois que des rôles de schizophrènes, de folles ou de lesbiennes que je n'ai pas envie de faire (...) les producteurs sont des hommes, les techniciens sont des hommes, les metteurs en scène sont pour la plupart des hommes ..." Maria Schneider, en 1976

Mon père, ce hero addict

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Maria Schneider en 1973.
Maria Schneider avec Marlon Brando dans “Dernier Tango à Paris”, de Bernardo Bertolucci (1972).

Des idées réac

Maria Schneider avec Klaus Kinski au moment du tournage de “Haine”, de Dominique Goult, en 1979.

“Tu t’appelais Maria Schneider”, de Vanessa Schneider (éd. Grasset).

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