À Hong Kong, la mutation d’un bâtiment administratif en un palace respectueux marque désormais de son empreinte la cité. À grandes foulées, vingt et un ans après la rétrocession
à la Chine, la ville poursuit sa réinvention.
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Éclat scintillant du blanc
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“C’est en circulant du lobby au brillant restaurant Popinjays […] en passant par les arcades, que l’on saisit la singularité du Murray : fixer le confort dans des espaces connectés, posés dans une ville en mutation perpétuelle, offrir au voyageur le doux paradoxe de ne pas rien faire tout en ne faisant pas grand-chose.”
Un milliard de dollars plus tard
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The Murray, lorsqu’il n’était encore qu’un bâtiment administratif, dans les années 1970.
The Murray, lorsqu’il n’était encore qu’un bâtiment administratif, dans les années 1970.