L'Officiel Art

Où célébrer une heureuse non-Saint-Valentin ?

Payer son écot festif à la Saint-Valentin n’est pas du goût de toutes et de tous...
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... Alors brisons-là le tabou du cadeau de circonstance : chocolats grands crus, champagne millésimé, lingerie suggestive, fleurs siglées, chemise sur mesure, voire – pour les plus égocentrés – chaussettes fil d’Ecosse monogrammées… Tout ou partie étant délivré post-manducation étoilée Michelin. Quand il n’est pas remis en Suite Junior tendue de velours rouge : croître et se multiplier constituant l’objectif à atteindre. Or, soyons pragmatiques, un tel scénario de soirée présente deux inconvénients majeurs : un coût élevé – avec retour sur investissement aléatoire – et un esprit par trop conventionnel. Dès lors, pourquoi ne pas explorer tous les possibles de la nuit devant une œuvre d’art : peinture, sculpture, installation… en mode nocturne pour susciter la conversation, Ô sel de la vie, et plus si affinités. Voici donc un tour d’horizon non exhaustif des Cartes et Pass annuels qui, pour un tarif globalement modique, ouvrent grand, et sans attente aucune, les portes de certaines des plus belles institutions muséales. Enjoy!

Musée d’art moderne de la Ville de Paris

11, Avenue du Président Wilson, 75116 Paris,
Tél. 01 53 67 40 00

www.mam.paris.fr
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h.
Nocturne le jeudi jusqu’à 22h pour les expositions temporaires
(dernier accès à 21h15).

www.parismusees.paris.fr/fr/votre-visite/la-carte-paris-musees
 

Abonnements (1 an) à la Carte Paris Musées qui donne accès aux 14 musées de la Ville de Paris :
-Carte individuelle : 40€
-Carte duo (pour l’adhérent + 1 invité au choix) : 60€
-Carte jeune (moins de 26 ans) : 20€

Les collections permanentes des musées de la Ville de Paris sont gratuites pour tous (expositions temporaires gratuites pour les moins de 18 ans).
 

A voir actuellement et prochainement :

-Ian Kiaer : “Endnote, tooth”, jusqu’au 4 mars
-Mohamed Bourouissa : “Urban Riders”, jusqu’au 22 avril
-Jean Fautrier : “Matière et Lumière”, jusqu’au 20 mai
-Sheila Hicks : “Au-delà, 2017”, jusqu’au 1er juin
-Zao Wou-Ki : “L’espace est silence”, à partir du 1er juin

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Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Mohamed Bourouissa : Urban Riders”. “Horse Day”, 2015, diptyque vidéo (couleur, son), 13’39’’. Courtesy de l’artiste et Kamel Mennour, Paris/London © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Mohamed Bourouissa : Urban Riders”. “Horse Day”, 2015, diptyque vidéo (couleur, son), 13’39’’. Courtesy de l’artiste et Kamel Mennour, Paris/London © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Mohamed Bourouissa : Urban Riders”. “Horse Day”, 2015, diptyque vidéo (couleur, son), 13’39’’. Courtesy de l’artiste et Kamel Mennour, Paris/London © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Mohamed Bourouissa : Urban Riders”. “Horse Day”, 2015, diptyque vidéo (couleur, son), 13’39’’. Courtesy de l’artiste et Kamel Mennour, Paris/London © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Mohamed Bourouissa : Urban Riders”. “Fairmount park”, 2015, photographie couleur, 130 x 170 cm. Courtesy de l’artiste et Kamel Mennour, Paris/London © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Mohamed Bourouissa : Urban Riders”. “Sans titre”, 2014, photographie couleur : Lucia Thomé. Courtesy des artistes et Kamel Mennour, Paris/London © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Mohamed Bourouissa : Urban Riders”. “Horse Day”, 2015, diptyque vidéo (couleur, son), 13’39’’. Courtesy de l’artiste et Kamel Mennour, Paris/London © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Mohamed Bourouissa : Urban Riders”. “Sans Titre”, série “Horse Day”, 2017, collage, aquarelle et crayon sur papier, 43 x 35 cm. Photo. archives Kamel Mennour. Courtesy de l’artiste et Kamel Mennour, Paris/London © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Mohamed Bourouissa : Urban Riders”. “Sans Titre”, série “Horse Day”, 2017, collages sur papier, 43 x 35 cm. Photo. archives Kamel Mennour. Courtesy de l’artiste et Kamel Mennour, Paris/London © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Mohamed Bourouissa : Urban Riders”. “Demain c’est loin”, 2017, 160 x 420 x 150 cm, tirages argentiques couleur et noir et blanc sur plaques de métal, carrosserie, peinture, aérosol, vernis, couvertures et sangles. Courtesy de l’artiste et Kamel Mennour, Paris/London © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Jean Fautrier : Matière et lumière”. “La Promenade du dimanche au Tyrol (Tyroliennes en habit du dimanche)”,1921-1922, huile sur toile, 81 x 100 cm. Don de l'artiste en 1964. Musée d’Art moderne de la Ville de Paris Crédit photographique : Eric Emo/Parisienne de Photographie © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Jean Fautrier : Matière et lumière”. “Le Grand Sanglier noir”, 1926, huile sur toile, 195,5 x 140,5 cm. Don de l'artiste en 1964 Musée d’Art moderne de la Ville de Paris. Crédit photographique : Eric Emo/Parisienne de Photographie © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Jean Fautrier : Matière et lumière”. “Nu aux bras levés”, 1927, bronze, 44 cm. Collection particulière © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Jean Fautrier : Matière et lumière”. “Poires dans une vasque”, 1938, huile sur papier marouflé sur bois, 60 x 92 cm. Collection particulière, Bruxelles, Courtesy Galerie Applicat-Prazan, Paris © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Jean Fautrier : Matière et lumière”. “Jeune Fille au grand front”, 1940, bronze, 18,5 x 16,5 x 19 cm. Fondation Beyeler, Riehen/ Bâle Donation Collection Renard. Photo : Studio Sebert © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Jean Fautrier : Matière et lumière”. “La Juive”, 1943, huile sur papier marouflé sur toile, 73 x 115,5 cm. Don de l'artiste en 1964. Musée d’Art moderne de la Ville de Paris Crédit photographique : Eric Emo/Parisienne de Photographie © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Jean Fautrier : Matière et lumière”. “Forêt (Les Marronniers)”, 1943, huile sur papier marouflé sur toile, 54 x 65 cm. Don de l’artiste en 1964. Musée d’Art moderne de la Ville de Paris. Crédit photographique : Eric Emo/Parisienne de Photographie © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Jean Fautrier : Matière et lumière”. “Tête d’otage n°20”, 1944, huile sur papier marouflé sur toile, 33 x 24 cm. Collection particulière, Cologne © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Jean Fautrier : Matière et lumière”. “La Jolie Fille”, 1944, huile, pastel et encre de Chine marouflé sur papier marouflé sur toile, 62 x 50 cm. Collection particulière © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Jean Fautrier : Matière et lumière”. “L'encrier”, 1948, huile sur papier marouflé sur toile, 34 x 41 cm. Don René de Montaigu en 1990. Musée d’Art moderne de la Ville de Paris Crédit photographique : Eric Emo/Parisienne de Photographie © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Jean Fautrier : Matière et lumière”. “Les trois têtes”, vers 1954, huile sur papier marouflé sur toile, 38 x 61 cm. Collection particulière, Paris, Courtesy Galerie Applicat-Prazan, Paris © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris. Ian Kiaer, “Endnote, tooth”, 2017, vidéo, 3’18’’. Courtesy galeries Marcelle Alix, Paris; Barbara Wien, Berlin; Alison Jacques, Londres. Photo : Pierre Antoine.
Musée d’art moderne de la ville de Paris. Ian Kiaer, “Endnote, tooth”, 2017, vidéo, 3’18’’. Courtesy galeries Marcelle Alix, Paris; Barbara Wien, Berlin; Alison Jacques, Londres. Photo : Pierre Antoine.
Musée d’art moderne de la ville de Paris. Sheila Hicks, “Au-delà”, 2017, coton, lin, fibre synthétique, cuir, dimensions variables © Adagp, Paris, 2017. Photo : Pierre Antoine.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Mohamed Bourouissa : Urban Riders”. “Sans Titre”, série “Horse Day”, 2014, collage et crayon sur papier, 45 x 37 cm. Photo. archives Kamel Mennour. Courtesy de l’artiste et Kamel Mennour, Paris/London © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Mohamed Bourouissa : Urban Riders”. “Skin and paper”, 2014, photographie couleur, 160 x 119 cm. Photo. archives Kamel Mennour. Courtesy de l’artiste et Kamel Mennour, Paris/London © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Mohamed Bourouissa : Urban Riders”. “Sans Titre”, série “Horse Day”, 2014, jus de crottin de cheval sur papier, 39 x 29 cm. Photo. archives Kamel Mennour. Courtesy de l’artiste et kamel mennour, Paris/London © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Jean Fautrier : Matière et lumière”. “Dessin de femme pour l'illustration de L’Alleluiah de Georges Bataille”, 1947, encre et fusain sur papier, 24,6 x 20 cm. Département des Hauts-de-Seine, Musée du domaine départemental de Sceaux. Photo : Philippe Fuzeau © Adagp, Paris, 2017.
Musée d’art moderne de la ville de Paris, exposition “Mohamed Bourouissa : Urban Riders”. “Sans titre”, 2013, photographie couleur, 160 x 111,5 cm. Courtesy de l’artiste et Kamel Mennour, Paris/London © Adagp, Paris, 2017.
Palais Galliera - Musée de la Mode

10, Avenue Pierre 1er de Serbie, Rue de Galliera, 75016 Paris,
Tél. 01 56 52 86 00
www.palaisgalliera.paris.fr
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h.
Nocturne le jeudi jusqu’à 21h (dernier accès à 20h15).

www.parismusees.paris.fr/fr/votre-visite/la-carte-paris-musees

 

Abonnements (1 an) à la Carte Paris Musées qui donne accès aux 14 musées de la Ville de Paris :
-Carte individuelle : 40€
-Carte duo (pour l’adhérent + 1 invité au choix) : 60€
-Carte jeune (moins de 26 ans) : 20€

Les collections permanentes des musées de la Ville de Paris sont gratuites pour tous (expositions temporaires gratuites pour les moins de 18 ans).

 

A voir prochainement :

-“Margiela / Galliera, 1989-2009”, du 3 mars au 15 juillet

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Palais Galliera, exposition “Margiela / Galliera 1989-1990”. Martin Margiela, veste de tailleur à carrure étriquée, Automne-hiver 1989-1990, drap de laine © Julien Vidal / Galliera / Roger-Viollet.
Palais Galliera, exposition “Margiela / Galliera 1989-1990”. Martin Margiela, gilet, Automne-hiver 1989-1990, 47 éclats de porcelaine et faience, fil de métal argenté, fil de métal noirci © Julien Vidal / Galliera / Roger-Viollet.
Palais Galliera, exposition “Margiela / Galliera 1989-1990”. Martin Margiela, veste de tailleur à carrure étriquée, Automne-hiver 1989-1990, drap de laine © Julien Vidal / Galliera / Roger-Viollet.
Palais Galliera, exposition “Margiela / Galliera 1989-1990”. Martin Margiela, paire de manches-gants maintenues par des épingles de nourrice, Automne-hiver 1993-1994, laine d’agneau à froissé permanent © Julien Vidal / Galliera / Roger-Viollet.
Palais Galliera, exposition “Margiela / Galliera 1989-1990”. Martin Margiela, col de chemise, Printemps-été 2003, popeline de coton couverte d’acier galvanisé © Françoise Cochennec / Galliera / Roger-Viollet.
Palais Galliera, exposition “Margiela / Galliera 1989-1990”. Martin Margiela, grande cape, Automne-hiver 1991-1992, drap de laine et polyamide © Julien Vidal / Galliera / Roger-Viollet.
Palais Galliera, exposition “Margiela / Galliera 1989-1990”. Martin Margiela, pull de poupée agrandi à taille humaine, Automne-hiver 1994- 1995, jersey de laine © Françoise Cochennec / Galliera / Roger-Viollet.
Palais Galliera, exposition “Margiela / Galliera 1989-1990”. Martin Margiela, semelles « tabi », Printemps-été 1996, cuir noir © Françoise Cochennec / Galliera / Roger-Viollet.
Martin Margiela, pull et jean de poupée agrandis à taille humaine, Printemps-été 1999, jersey de coton et denim © Françoise Cochennec / Galliera / Roger-Viollet.
Palais Galliera, exposition “Margiela / Galliera 1989-1990”. Martin Margiela, haut en perruques retournées, Automne-hiver 2005-2006, cheveux synthétiques, cuir mastic © Julien Vidal / Galliera / Roger-Viollet.
Palais Galliera, exposition “Margiela / Galliera 1989-1990”. Martin Margiela, veste-perruques et postiche, Automne-hiver 2008-2009 (collection « Artisanal »), puis Printemps-été 2009, cheveux synthétiques blonds, taffetas ivoire © Stéphane Piera / Galliera / Roger-Viollet.
Palais Galliera, exposition “Margiela / Galliera 1989-1990”. Martin Margiela, poster porté en robe, Printemps-été 2009, satin de soie imprimé, motif d’une veste issue de la première collection de Margiela © Françoise Cochennec / Galliera / Roger-Viollet.
Palais Galliera, exposition “Margiela / Galliera 1989-1990”. Martin Margiela, veste plate sans manches, Printemps-été 1998, toile de laine et polyester aplatie au fer © Françoise Cochennec / Galliera / Roger-Viollet.
Palais Galliera : vue extérieure du musée.
Palais Galliera, exposition “Margiela / Galliera 1989-1990”. Martin Margiela, jupe-tablier en foulards chinés aux Puces, Printemps-été 1992, soie et fibres artificielles froissées © Julien Vidal / Galliera / Roger-Viollet.
Palais Galliera, exposition “Margiela / Galliera 1989-1990”. Martin Margiela, paire de bottines « tabi » taguées, 1991, cuir blanc, toile de coton blanc, encre feutre noir et bleu © Françoise Cochennec / Galliera / Roger-Viollet.

100bis, Rue d’Assas, 75006 Paris,
Tél.  01 55 42 77 20
www.zadkine.paris.fr
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h.

www.parismusees.paris.fr/fr/votre-visite/la-carte-paris-musees
 

Abonnements (1 an) à la Carte Paris Musées qui donne accès aux 14 musées de la Ville de Paris :
-Carte individuelle : 40€
-Carte duo (pour l’adhérent + 1 invité au choix) : 60€
-Carte jeune (moins de 26 ans) : 20€

Les collections permanentes des musées de la Ville de Paris sont gratuites pour tous (expositions temporaires gratuites pour les moins de 18 ans).

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Musée Zadkine : vue extérieure.
Musée Zadkine : vue extérieure.
Musée Zadkine : vue extérieure.
Musée Zadkine : vue extérieure.
Musée Zadkine : vue extérieure.
Musée Bourdelle

18, Rue Antoine Bourdelle, 75015 Paris,
Tél. 01 49 54 73 73
www.bourdelle.paris.fr
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h.
www.parismusees.paris.fr/fr/votre-visite/la-carte-paris-musees

 

Abonnements (1 an) à la Carte Paris Musées qui donne accès aux 14 musées de la Ville de Paris :
-Carte individuelle : 40€
-Carte duo (pour l’adhérent + 1 invité au choix) : 60€
-Carte jeune (moins de 26 ans) : 20€

Les collections permanentes des musées de la Ville de Paris sont gratuites pour tous (expositions temporaires gratuites pour les moins de 18 ans).

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Musée Bourdelle : vue intérieure, juin 2015 © B Fougeirol.
Musée Bourdelle : vue intérieure, juin 2015 © B Fougeirol.
Musée Bourdelle : vue intérieure, juin 2015 © B Fougeirol.
Musée Bourdelle : vue intérieure, juin 2015 © B Fougeirol.
Musée Bourdelle : vue extérieure.
Petit Palais

Avenue Winston Churchill, 75008 Paris,
Tél. 01 53 43 40 00
www.petitpalais.paris.fr
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h.
Nocturne le vendredi jusqu’à 21h (dernier accès à 20h15).

www.parismusees.paris.fr/fr/votre-visite/la-carte-paris-musees

 

Abonnements (1 an) à la Carte Paris Musées qui donne accès aux 14 musées de la Ville de Paris :
-Carte individuelle : 40€
-Carte duo (pour l’adhérent + 1 invité au choix) : 60€
-Carte jeune (moins de 26 ans) : 20€

Les collections permanentes des musées de la Ville de Paris sont gratuites pour tous (expositions temporaires gratuites pour les moins de 18 ans).
 

A voir actuellement et prochainement :

-“L’art du pastel de Degas à Redon”, jusqu’au 8 avril
-“Les Hollandais à Paris, 1789-1914”, jusqu’au 13 mai
-“Les Impressionnistes à Londres – Artistes en exil, 1870-1904”, du 21 juin au 14 octobre

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Petit Palais, exposition “Les Hollandais à Paris, 1789-1944”. Jan Sluijters, “Bal Tabarin”, 1907, huile sur toile. Amsterdam, Stedelijk Museum © Collection Stedelijk Museum.
Petit Palais, exposition “L’art du pastel de Degas à Redon”. Pierre Carrier-Belleuse, “Sur le sable de la dune”, 1896, pastel. © Petit Palais / Roger-Viollet.
Petit Palais, exposition “Les Hollandais à Paris, 1789-1944”. Ary Scheffer, “Les ombres de Francesca da Rimini et de Paolo Malatesta apparaissent à Dante et à Virgile”, 1854, huile sur toile, Hamburger Kunsthalle © Hamburger Kunsthalle / bpk / Photo Elke Walford.
Petit Palais, exposition “L’art du pastel de Degas à Redon”. Elisabeth Vigée-Lebrun, “La Princesse Radziwill (1781-1808)”, vers 1800-1801, pastel et sanguine. © Petit Palais / Roger-Viollet.
Petit Palais, exposition “L’art du pastel de Degas à Redon”. Paul Gauguin, “Le sculpteur Aubé et son fils Emile”, 1882, pastel. © Petit Palais / Roger-Viollet.
Petit Palais, exposition “L’art du pastel de Degas à Redon”. Edgard Degas, “Femme à l’éventail”, crayon graphite, pastel et craie blanche. © Petit Palais / Roger-Viollet.
Petit Palais, exposition “L’art du pastel de Degas à Redon”. James Tissot, “Berthe”, vers 1883, crayon graphite, pastel. © Petit Palais / Roger-Viollet.
Petit Palais, exposition “Les Hollandais à Paris, 1789-1944”. Johan Barthold Jongkind, “Rue Notre-Dame”, Paris, 1866, huile sur toile © Collection Rijksmuseum, Amsterdam. Purchased with the support of the BankGiro Lottery, the Rijksmuseum Fonds and the Vereniging Rem- brandt, with additional funding from the Prins Bernhard Cultuurfonds.
Petit Palais, exposition “Les Hollandais à Paris, 1789-1944”. Jacob Maris, “Le Peintre Frederik Kaemmerer au travail à Oosterbeek”, 1861, huile sur papier marouflé sur bois. Dordrecht, Dordrechts Museum © Dordrecht, Dordrechts Museum.
Petit Palais, exposition “Les Hollandais à Paris, 1789-1944”. Frederik Hendrik Kaemmerer, “Vue de Scheveningue”, vers 1870, huile sur toile. La Haye, Haags Historisch Museum ©CollectionHaags Historisch Museum.
Petit Palais, exposition “Les Hollandais à Paris, 1789-1944”. George Hendrik Breitner, “Le Kimono rouge,” 1893, huile sur toile. Amsterdam, Stedelijk Museum © Collection Stedelijk Museum Amsterdam.
Petit Palais, exposition “Les Hollandais à Paris, 1789-1944”. Piet van der Hem, “Le Moulin-Rouge”, vers 1908-1909. Collection particulière © Photo by courtesy Mark Smit, Omnen. Piet van der Hem droits réservés Amsterdam.
Petit Palais, exposition “Les Hollandais à Paris, 1789-1944”. Piet Mondrian, “Composition XIV (Compositie XIV)”, © Collection Gemeentemuseum, La Haye 1913, huile sur toile. Collection Van Abbemuseum, Eindhoven, Pays-Bas © Photo Peter Cox, Eindhoven, The Netherlands.
Petit Palais, exposition “Les Impressionnistes à Londres”. Claude Monet, “Le Parlement de Londres”, 1900-1901. Art Institute of Chicago. Photo © The Art Institute of Chicago.
Petit Palais, exposition “L’art du pastel de Degas à Redon”. Victor Prouvé, “Femme étendue sur un divan, 1899, pastel. © Petit Palais / Roger-Viollet.
Petit Palais, exposition “L’art du pastel de Degas à Redon”. Alphonse Osbert, “Le lyrisme de la forêt”, 1910, pastel. © Petit Palais / Roger-Viollet.
Petit Palais, exposition “L’art du pastel de Degas à Redon”. Berthe Morisot, “Dans le parc”, vers 1874, pastel. © Petit Palais / Roger-Viollet.
Petit Palais : vue extérieure du musée.
Petit Palais, exposition “Les Hollandais à Paris, 1789-1944”. Kees van Dongen, “A la Galette”, 1904-1906. Photo Courtesy Galerie Artvera’s © Adagp, Paris 2017.
Petit Palais, exposition “Les Hollandais à Paris, 1789-1944”. Vincent van Gogh, “Vue depuis l’appartement de Theo”, 1887, huile sur toile, Amsterdam, Van Gogh Museum (Vincent Van Gogh Foundation).
Petit Palais, exposition “Les Hollandais à Paris, 1789-1944”. Vincent van Gogh, “Jardins potagers et moulins à Montmartre”, 1887, huile sur toile. Amsterdam, Van Gogh Museum (Vincent Van Gogh Foundation).
Petit Palais, exposition “Les Hollandais à Paris, 1789-1944”. Vincent van Gogh, “Autoportrait”, 1887, huile sur carton. Amsterdam, Van Gogh Museum (Vincent Van Gogh Foundation).
Petit Palais, exposition “Les Hollandais à Paris, 1789-1944”. Philip van Bree, “Vue de l’atelier de Jan Frans van Dael à la Sorbonne”, 1816, huile sur toile, Worcester Art Museum, MA, Stoddard Acquisition Fund, 2016.12 © Image courtesy of the Worcester Art Museum, MA.
Petit Palais, exposition “Les Hollandais à Paris, 1789-1944”. Gerard van Spaendonck, “Bouquet de fleurs dans un sur toile”, 1795 © The National Gallery, Londres vase d’albâtre sur un entablement de marbre, 1781, huile sur toile. Bois-le-Duc (‘s-Hertogenbosch), Pays-Bas, Het Noordbrabants Museum. © Photo Peter Cox.
Petit Palais, exposition “L’art du pastel de Degas à Redon”. Ker-Xavier Roussel, “Pêche bucolique”, pastel. © Petit Palais / Roger-Viollet © Petit Palais / Roger-Viollet.
Petit Palais, exposition “L’art du pastel de Degas à Redon”. Lucien Lévy-Dhurmer, “Feu d’artifice à Venise”, pastel. © Petit Palais / Roger-Viollet.
Petit Palais, exposition “L’art du pastel de Degas à Redon”. Antoine Calbet, “Parmi les roses”, 1917, pastel. © Petit Palais / Roger-Viollet.
Petit Palais, exposition “L’art du pastel de Degas à Redon”. Charles-Lucien Léandre, “Sur champ d’or”, 1897, pastel. © Petit Palais / Roger-Viollet.
Petit Palais, exposition “L’art du pastel de Degas à Redon”. Odilon Redon, “Vieil ange”, 1892-1895, pastel et fusain,. © Petit Palais / Roger-Viollet.
Musée Cernuschi - Arts de l’Asie

7, Avenue Velasquez, 75008 Paris,
Tél. 01 53 96 21 50
www.cernuschi.paris.fr
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h.

www.parismusees.paris.fr/fr/votre-visite/la-carte-paris-musees
 

Abonnements (1 an) à la Carte Paris Musées qui donne accès aux 14 musées de la Ville de Paris :
-Carte individuelle : 40€
-Carte duo (pour l’adhérent + 1 invité au choix) : 60€
-Carte jeune (moins de 26 ans) : 20€

Les collections permanentes des musées de la Ville de Paris sont gratuites pour tous (expositions temporaires gratuites pour les moins de 18 ans).


A voir actuellement et prochainement :

-“Entre la Chine et l’Occident, legs Jacques Touron”, jusqu’au 18 mars
-“Parfums de Chine”, du 9 mars au 26 août

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Musée Cernuschi, exposition “Parfums de Chine. La culture de l’encens au temps des empereurs”. Chen Hongshou, “Femme parfumant ses manches sur un brûle-parfum”, détail, Ming (1368-1644).
Musée Cernuschi : vue extérieure.
Musée Cernuschi, exposition “Entre la Chine et l’Occident, autour du legs Jacques Touron”. Drageoir, Chine, Jingdezhen (Jiangxi), dynastie des Qing, ère Kangxi, vers 1695. Biscuit de porcelaine à décor d’émaux Famille verte. Legs Touron, 2016 © Stéphane Piera / Musée Cernuschi  / Roger-Viollet.
Musée Cernuschi, exposition “Entre la Chine et l’Occident, autour du legs Jacques Touron”. Théière, Chine, Jingdezhen (Jiangxi), dynastie des Qing, ère Kangxi, vers 1685-1723. Porcelaine à décor d’émaux Famille verte. Legs Touron, 2016 © Stéphane Piera / Musée Cernuschi  / Roger-Viollet.
Musée Cernuschi, exposition “Parfums de Chine. La culture de l’encens au temps des empereurs”. Brûle-parfum avec une paire d’oiseaux, bronze, Dynastie des Han (IIIe s. av. J.-C. – IIIe s. apr. J.-C), musée de Shanghai © Musée de Shanghai.
Musée Cernuschi, exposition “Entre la Chine et l’Occident, autour du legs Jacques Touron”. Potiche, Chine, Jingdezhen (Jiangxi), dynastie des Qing, ère Kangxi, vers 1685-1723. Porcelaine à décor d’émaux Famille verte. Legs Touron, 2016 © Stéphane Piera / Musée Cernuschi  / Roger-Viollet.
Musée Cernuschi, exposition “Entre la Chine et l’Occident, autour du legs Jacques Touron”. Fontaine, Chine, Jingdezhen (Jiangxi), dynastie des Qing, ère Kangxi, vers 1685-1723. Porcelaine à décor d’émaux Famille verte. Legs Touron, 2016 © Stéphane Piera / Musée Cernuschi  / Roger-Viollet.
Musée Cernuschi, exposition “Entre la Chine et l’Occident, autour du legs Jacques Touron”. Canard, Chine, Jingdezhen (Jiangxi), dynastie des Qing, ère Kangxi, vers 1685-1723. Biscuit de porcelaine à décor d’émaux Famille verte. Legs Touron, 2016 © Stéphane Piera / Musée Cernuschi  / Roger-Viollet.
Musée Cernuschi, exposition “Entre la Chine et l’Occident, autour du legs Jacques Touron”. Boîte, Chine, Jingdezhen (Jiangxi), dynastie des Qing, ère Kangxi, vers 1685-1723. Porcelaine à décor d’émaux Famille verte. Legs Touron, 2016 © Stéphane Piera / Musée Cernuschi  / Roger-Viollet.
Maison de Victor Hugo

6, Place des Vosges, 75004 Paris,
Tél. 01 42 72 10 16
www.maisonsvictorhugo.paris.fr
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h.

www.parismusees.paris.fr/fr/votre-visite/la-carte-paris-musees


Abonnements (1 an) à la Carte Paris Musées qui donne accès aux 14 musées de la Ville de Paris :
-Carte individuelle : 40€
-Carte duo (pour l’adhérent + 1 invité au choix) : 60€
-Carte jeune (moins de 26 ans) : 20€

Les collections permanentes des musées de la Ville de Paris sont gratuites pour tous (expositions temporaires gratuites pour les moins de 18 ans).
 

A voir actuellement et prochainement :

-“La Folie en tête”, jusqu’au 18 mars
-“Karen, Victor, Wilhelm et Babette”, jusqu’au 29 avril

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Maison de Victor Hugo, exposition “La Folie en tête”. Anonyme, « 200 », encre sur papier © Sammlung Prinzhorn Heidelberg.
Maison de Victor Hugo, exposition “La Folie en tête”. Joseph Askew, “Still life with Tankard and Pot Plants”, aquarelle sur papier, 1868 © Dumfries and Galloway Libraries, Information and Archives Ewart Library.
Maison de Victor Hugo, exposition “La Folie en tête”. Anonyme, “Eugène Hugo”, gravure, 1815- 1820. Paris, Maison de Victor Hugo. © Maisons de Victor Hugo / Roger-Viollet.
Maison de Victor Hugo, exposition “La Folie en tête”. Klett, Auguts [Klotz], “IIIe Feuille : La république des coqs dans le soleil a donné dîner et danse sans déguisement”, crayon, aquarelle, craie sur papier.
Maison de Victor Hugo, exposition “La Folie en tête”. Emile Josome Hodinos, encre de Chine sur papier recto verso, entre 1876 et 1896 © Abcd, Montreuil.
Maison de Victor Hugo, exposition “La Folie en tête”. Karl Schneeberge, “Sozialist”, carton, papier, journaux, fil de fer, 1922, N° inv. 230© Psychiatrie-Museum, Berne.
Maison de Victor Hugo, exposition “La Folie en tête”. Joseph Askew, “Stylised figure”, crayon et aquarelle s.d © Dumfries and Galloway Libraries, Information and Archives Ewart Library.
Maison de Victor Hugo, exposition “La Folie en tête”. Broderie anonyme, collection Abcd / Bruno Decharme.
Maison de Victor Hugo, exposition “La Folie en tête”. Else Blankenhorn, “Sans titre, [Couchée avec aura]” ©Sammlung Prinzhorn Heidelberg.
Maison de Victor Hugo, exposition “La Folie en tête”. Adolf Wölfli, mine de plomb et crayon de couleur sur papier, 376 © Abcd, Montreuil.
Maison de Victor Hugo, exposition “La Folie en tête”. “Adèle Hugo fille”, 1862, photographie d'Edmond Bacot (1814-1875). Paris, Maison de Victor Hugo. © Edmond Bacot / Maisons de Victor Hugo / Roger-Viollet.
Centre Pompidou

Place Georges Pompidou, 75004 Paris,
Tél. 01 44 78 12 33
www.centrepompidou.fr
Ouvert du mercredi au lundi de 11h à 21h.
Nocturne le jeudi jusqu’à 23h pour les expositions temporaires.

www.centrepompidou.fr/fr/Visite/Devenir-adherent

 

Abonnements Carte POP’ :
-Carte POP’ tout public 1 an : 49€
-Carte POP’ jeune 1 an : 24€
-Carte POP’ artiste 1 an : 27€
-Carte POP’ duo 1 an : 76€
-Carte POP’ tout public 2 ans : 74€
-Carte POP’ duo 2 ans : 125€
 

A voir actuellement et prochainement :

-César, jusqu'au 26 mars
-Jean Echenoz : “Roman, rotor, sator”, jusqu'au 5 mars
-Jim Dine : “Paris Reconnaissance”, du 14 février au 23 avril
-“Sheila Hicks. Lignes de vie”, jusqu'au 30 avril
-“Mémoires des futurs. Modernités indiennes”,
jusqu'au 19 février
-“L’Œil écoute”, du 4 mai au 1er avril

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Centre Pompidou, exposition “Jim Dine : Paris Reconnaissance”. Jim Dine, “Nancy and I at Ithaca”, 1966-69, 1998. © Adagp Paris 2017.
Centre Pompidou, exposition “César”. “Compression Yellow Buick”, 1961.
Centre Pompidou, exposition “César”. “Blu Francia 490”, 1998.
Centre Pompidou, exposition “César”. “Aile”, 1955.
Centre Pompidou, exposition “César”. “Hommage à Nicolas de Staël”, 1958.
Centre Pompidou, exposition “César”. “Expansion Bouilloire”, 1967.
Centre Pompidou, exposition “César”. “Expansion n°14”, 1970.
Centre Pompidou, exposition “César”. “Dauphine 1959”, 1970.
Centre Pompidou, exposition “César”. “Championne Argentine n°2”, 1985.
Centre Pompidou, exposition “César”. Georges Kelaidites, “Le sein à la fonderie Schneider de Montchanin”, 1967 © Georges Kelaidites.
Centre Pompidou, exposition “Jim Dine : Paris Reconnaissance”. Jim Dine, “Window with an Axe”, 1961-62. © Adagp Paris 2017.
Centre Pompidou, exposition “Jim Dine : Paris Reconnaissance”. Jim Dine, “Another Ribbon machine”, 1965. © Adagp Paris 2017.
Centre Pompidou, exposition “Jim Dine : Paris Reconnaissance”. Jim Dine, “The Red Axe”, 1965. © Adagp Paris 2017.
Centre Pompidou, exposition “Jim Dine : Paris Reconnaissance”. Jim Dine, “Nancy and I at Ithaca”, 1966-1969. © Adagp Paris 2017.
Centre Pompidou, exposition “Jim Dine : Paris Reconnaissance”. Jim Dine, “Sawhorse Piece”, 1968-1969, 1998. © Adagp Paris 2017.
Centre Pompidou, exposition “Jim Dine : Paris Reconnaissance”. Jim Dine, “The Garden of Eden”, 2003”. © Adagp Paris 2017.
Centre Pompidou, exposition “Jim Dine : Paris Reconnaissance”. Jim Dine, “A Child in winter sings”, 2011-2012. © Adagp Paris 2017.
Centre Pompidou, exposition “L’Œil écoute”. André Steiner, “Composition au violon et pinces à cheveux”, vers 1938. Epreuve gélatino-argentique, 23,9 × 30,2 cm. © Centre Pompidou / S. Kalika / DIST. rmn-gp © Steiner-Bajolet.
Centre Pompidou, exposition “Mémoires des futurs. Modernités indiennes”. Benitha Perciyal, partie de l’installation “The Fires of Faith”, 2017.
Centre Pompidou, exposition “Jim Dine : Paris Reconnaissance”. Jim Dine, “The Prince”, 2008. © Adagp Paris 2017.
Centre Pompidou, exposition “César”. “Pouce”, 1965.
Centre Pompidou, exposition “Jim Dine : Paris Reconnaissance”. Jim Dine, “Harvest”, 1984. © Adagp Paris 2017.
Centre Pompidou, exposition “Jim Dine : Paris Reconnaissance”. Jim Dine, “My Tuxedo Makes an Impressive Blunt Edge to the Light”, 1965. © Adagp Paris 2017.
Centre Pompidou, exposition “César”. “Pouce centre”.
Palais de Tokyo

13, Avenue du Président Wilson, 75116 Paris,
Tél. 01 81 97 35 88
www.palaisdetokyo.com
Ouvert du mercredi au lundi de midi à minuit.
www.palaisdetokyo.com/fr/page/adherer-au-tokyopass

 

Abonnements Tokyopass :
-Pass Solo plein tarif : 40€
-Pass Duo : 60€
-Pass Jeune (18-25 ans) : 20€

 

A voir actuellement et prochainement :

Saison Discorde, Fille de la Nuit, du 16 février au 13 mai

-Neïl Beloufa : “L’Ennemi de mon ennemi”
-Kader Attia & Jean Jacques Lebel, “L’un et l’autre”
-George Henry Longly : “Le corps analogue”
-Massinissa Selmani : “Ce qui coule n’a pas de fin”
-Marianne Mispelaëre : “On vit qu’il n’y avait plus rien à voir”
-Bertrand Dezoteux : “Under the hummer”
-Oeuvres in situ / Anémochories d’Anita Molinero, Daiga
Grantina, Nina Chanel Abney


Saison Enfance, du 22 juin au 9 septembre

-“Encore un jour banane pour le poisson rêve”, commissariat de
Sandra Adam-Couralet, Yoann Gourmel et Kodama Kanazawa
-Laure Prouvost
-Julieta Garcia Vazquez, résidente SAM Art Projects 2018
-Bronwyn Katz, résident SAM Art projects 2018

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Palais de Tokyo, exposition “Bernard Dezoteux : Under the hummer”. “Under the Hummer”, 2018. Courtesy de l’artiste.
Palais de Tokyo, exposition “Bernard Dezoteux : Under the hummer”. “L'Histoire de France en 3D”, 2012, animation 3D, 14min. Courtesy de l’artiste . Co-production Frac Aquitaine & Frieze Projects.Palais de Tokyo, exposition “Bernard Dezoteux : Under the hummer”. “L'Histoire de France en 3D”, 2012, animation 3D, 14min. Courtesy de l’artiste . Co-production Frac Aquitaine & Frieze Projects.
Palais de Tokyo. Laure Prouvost, “Behind the lobby doors, the pepper is in the right eye”, 2016, Kunstmuseum Luzern. Photo : Marc Latzel. Courtesy de l’artiste et Nathalie Obadia (Paris / Bruxelles), carlier | gebauer (Berlin), Lisson Gallery (Londres / New York).
Palais de Tokyo, exposition “Bernard Dezoteux : Under the hummer”. “Picasso Land”, 2015, animation 3D, 10min. Courtesy de l’artiste. Production Le Confort Moderne. Collection Frac Languedoc Roussillon.
Palais de Tokyo, exposition “Bernard Dezoteux : Under the hummer”. “En attendant Mars”, 2017, installation. Courtesy de l’artiste, avec le soutien du programme Audi Talent Awards et de l’Observatoire de l’espace du CNES. Photo : Paul Nicoué.
Palais de Tokyo, exposition “Bernard Dezoteux : Under the hummer”. “En attendant Mars”, 2017, vidéo, 14min. Courtesy de l’artiste, avec le soutien du programme Audi Talent Awards et de l’Observatoire de l’espace du CNES.
Palais de Tokyo. Portrait de Bertrand Dezoteux. Photo : Micky Clément.
Palais de Tokyo. Portrait de Massinissa Selmani.
Palais de Tokyo, exposition “Massinissa Selmani : Ce qui coule n'a pas de fin”. “Promesse #4”, 2017, série “Promesses” , graphite et mines couleur sur papier, 49 x 63 cm. Courtesy de l’artiste et Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris.
Palais de Tokyo, exposition “Massinissa Selmani : Ce qui coule n'a pas de fin”. “La Certitude des ombres”, 2017, impression jet d’encre pigmentaire et sérigraphie sur papiersArches aquarelle et Hahnemühle, calque, bois et plexiglas, 110 x 67 x 50 cm. Courtesy de l'artiste et Galerie 8+4, Paris.
Palais de Tokyo, exposition “Massinissa Selmani : Ce qui coule n'a pas de fin”. “Entre le ciel et moi #2”, 2017, série “Entre le ciel et moi”, graphite sur papier, 105 x 80 cm. Courtesy de l’artiste et Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris.
Palais de Tokyo, exposition “Massinissa Selmani : Ce qui coule n'a pas de fin”. “Spare time”, 2016, série des “Altérables”, photocopie, graphite papier calque, adhésif, 30 x 42 cm. Courtesy de l’artiste et Selma Feriani Gallery.
Palais de Tokyo, exposition “Massinissa Selmani : Ce qui coule n'a pas de fin”. “Potential memory # 1”, 2016, dessin 1 sur 5 dessins, technique mixte sur papier et papier calque, 34 x 43 cm pour chaque. Courtesy de l’artiste et Selma Feriani Gallery.
Palais de Tokyo, exposition “Marianne Mispelaëre : On vit qu'il n'y avait plus rien à voir”. “No man’s land”, 2014, action performative et collective de dessin, 3 performeurs min., stylo bille et papier non-couché 110gr. Crédit photo : Marianne Mispelaëre.
Palais de Tokyo, exposition “Marianne Mispelaëre : On vit qu'il n'y avait plus rien à voir”. “Mesurer les actes”, 2011-2017, dessin in situ, action performative de, dessin, encre de Chine sur mur, pinceau petit gris, dimensions variables. Crédit photo : Nicolas Lelièvre.
Palais de Tokyo, exposition “Marianne Mispelaëre : On vit qu'il n'y avait plus rien à voir”. “Silent Slogan”, 2016 – en cours, cartes postales, série de 32, 700 exemplaires, capture d’écran, texte, impression offset,105x148 mm chaque. Crédit photo : Marianne Mispelaëre.
Palais de Tokyo. Daiga Grantina, vue d'installation à Paris Internationale, 2016. Photo : Aurélien Mole. Courtesy de l'artiste et de la Galerie Joseph Tang, Paris.
Palais de Tokyo. Daiga Grantina, vue de l'installation “Biotopia”, Kunsthalle Mainz, 2017. Courtesy de l'artiste et de la Galerie Joseph Tang, Paris.
Palais de Tokyo. Daiga Grantina, vue de l'installation “Grotto from Glammar”, Galerie Joseph Tang, Paris, 2016. Photo: Aurélien Mole. Courtesy de l'artiste et de la Galerie Joseph Tang, Paris.
Palais de Tokyo. Portrait de Daiga Grantina. Photo : Toan Vu-Huu.
Palais de Tokyo. Daiga Grantina, Buff gang or Nector bough, 2017, tissu, plastique et bois, 260 x 100 x 80 cm. Vue de l'installation “Pilars Sliding off Coat-ee”, Kunstverein Hamburg, 2017. Photo: Fred Dott. Courtesy de l'artiste et de la Galerie Joseph Tang, Paris.
Palais de Tokyo. Nina Chanel Abney, “Black and Blues”, 2017, impression pigmentaire, acrylique et peinture à la bombe sur toile.
Palais de Tokyo. Nina Chanel Abney, “In the Land of Feelings”, 2017, unique ultrachrome, impression pigmentaire, acrylique et peinture à la bombe sur toile.
Palais de Tokyo. Nina Chanel Abney, “Hobson's Choice”, 2017, acrylique et peinture à la bombe sur toile.
Palais de Tokyo. Nina Chanel Abney, “Basketball Court for Project Backboard”, Memphis, TN, peinture acrylique sur ciment, printemps 2015.
Palais de Tokyo. Anita Molinero, vue de l'exposition “Buy-sellf , Retour vers le futur”, au CAPC Musée d'art contemporain de Bordeaux, 2010. Courtesy de l’artiste et Galerie Thomas Bernard - Cortex Athletico. Crédit photo : Fréderic Latherrade.
Palais de Tokyo. Anita Molinero, “Sans titre”, 2011, cabanes pour enfants, pots d’échappement, 300 x 260 x 144 cm. Production Galerie Edouard Manet, Gennevilliers. Courtesy de l’artiste et Galerie Thomas Bernard - Cortex Athletico. Crédit photo  Laurent Lecat - Galerie Edouard Manet, Gennevilliers.
Palais de Tokyo. Anita Molinero, “Le Bayou” anciennement dite “La Régina”, 2012-2015 Gazinière inox, poubelle polypropylène, polyester extrudé, fourrure, poches plastique, 150 x 195 x 90 cm. Courtesy de l’artiste et Galerie Thomas Bernard - Cortex Athletico. Crédit photo : Rebecca Fanuele.
Palais de Tokyo. Anita Molinero, “Sans titre de la mort”, 2015, poubelle fondue, 303 x 150 x 160 cm. Courtesy de l’artiste et Galerie Thomas Bernard - Cortex Athletico. Crédit photo : Rebecca Fanuele.
Palais de Tokyo. Anita Molinero, vue de l'exposition « La Grosse Bleue », Galerie Thomas Bernard - Cortex Athletico, 2017. Courtesy de l’artiste et Galerie Thomas Bernard - Cortex Athletico. Crédit photo : Rebecca Fanuele.
Palais de Tokyo. Portrait de George Henry Longly. Crédit photo : Alex Paganelli.
Palais de Tokyo, exposition “George Henry Longly : Le corps analogue”. “I Lose it Every Time I’m Close to You”, 2016, résine photoréactive. Vue de l’exposition “We All Love Your Life”, Red Bull Studios New York, 2016. Courtesy de l’artiste et galerie Valentin (Paris) © Photo: Lance Brewer.
Palais de Tokyo, exposition “George Henry Longly : Le corps analogue”. “Industrial Debts”, image, étude d’un masque de privation sensorielle, 2018. Photo : Alex Paganelli.
Palais de Tokyo, exposition “George Henry Longly : Le corps analogue”. Vue de l'exposition “The smile of a snake”, Valentin, Paris, France, 2016. © Sylvie Chan-Liat / Courtesy de l'artiste et de Valentin, Paris.
Palais de Tokyo, exposition “George Henry Longly : Le corps analogue”. “We all love your life”, 2016, vidéo HD, 12:00 mn. Capture d'écran de la vidéo © George Henry Longly / Courtesy de l'artiste et de Valentin, Paris.
Palais de Tokyo, exposition “George Henry Longly : Le corps analogue”. “Touch it, bring it, babe, watch it Turn it, leave it, stop, format it Touch it, bring it, babe, watch it Turn it, leave it, stop, format it”, 2016, résine polyuréthane, aluminium découpe au plasma et au jet d’eau, 145 x 82 x 46,5 cm. © Photo: Sylvie Chan-Liat / Courtesy de l'artiste et de Valentin, Paris.
Palais de Tokyo, exposition “George Henry Longly : Le corps analogue”. “We all love your life”, 2016, vidéo HD, 12:00 mn. Capture d'écran de la vidéo © George Henry Longly / Courtesy de l'artiste et de Valentin, Paris.
Palais de Tokyo, exposition “George Henry Longly : Le corps analogue”. “The Lobbyist”, 2016, mousse de polyuréthane mélangée, tubes en aluminium, peinture, laiton filé, Perspex moulé, boucles en acier inoxydable, chaîne en aluminium, 175 x 32 x 24 cm. © Photo: Lance Brewer / Courtesy de l'artiste et de Valentin, Paris.
Palais de Tokyo, exposition “George Henry Longly : Le corps analogue”. “Tropotaxis”, 2016, aluminium découpé au jet d’eau et oxycoupé, laiton, acier, chaîne, 198 x 176 cm. © Photo: Ludovic Beillard / Courtesy de l'artiste et de Valentin, Paris.
Palais de Tokyo. Portrait de Jean-Jacques Lebel. Courtesy de l’artiste.
Palais de Tokyo. Portrait de Kader Attia. Photo : Sam Mertens.
Palais de Tokyo, “Kader Attia & Jean Jacques Lebel : L'un et l'autre”. Kader Attia, “Reenactment”, 2014, casque de l’Armée coloniale française, bois, cordes, 50 x 21 x 18 cm . Collection particulière / Private collection. Photo credit: Elisabeth Bernstein.
Palais de Tokyo, “Kader Attia & Jean Jacques Lebel : L'un et l'autre”. Jouet bricolé par un poilu anonyme à partir de balles de fusil et de morceaux de cuivre pendant la guerre de 14/18, 2,2 x 8,2 x 10,5 cm. Fonds de dotation Jean-Jacques Lebel.
Palais de Tokyo, “Kader Attia & Jean Jacques Lebel : L'un et l'autre”. Kader Attia, “The Culture of Fear: An Invention of Evil”, 2013, installation, étagères en métal, livres, journaux. Courtesy de l’artiste © ADAGP, Paris 2017.
Palais de Tokyo, “Kader Attia & Jean Jacques Lebel : L'un et l'autre”. Jean-Jacques Lebel, “Poison soluble. Scènes de l’occupation américaine (Bagdad)”, 2013, impressions sur tissus et papier, installation labyrinthique. © ADAGP, Paris 2017.
Palais de Tokyo, exposition “Neïl Beloufa : L'Ennemi de mon ennemi”. Vue de l'exposition monographique de Neil Beloufa « Les Inoubliables prises d'autonomie », dans le cadre de la saison 'Imaginez l'Imaginaire" © Courtesy de l’artiste. Photo : André Morin © ADAGP, Paris 2017.
Palais de Tokyo, exposition “Neïl Beloufa : L'Ennemi de mon ennemi”. Neïl Beloufa, “Développement durable”, 2017, Musée régional d’art contemporain Occitanie/Pyrénées-Méditerranée, Sérignan. Courtesy de l’artiste & galerie Balice Hertling, Paris. Photo : Aurélien Mole © ADAGP, Paris 2017.
Palais de Tokyo, exposition “Neïl Beloufa : L'Ennemi de mon ennemi”. Neïl Beloufa, “The Colonies“, 2016, Museum of Modern Art, New-York. Courtesy de l’artiste & Ghebaly Gallery (Los Angeles). Photo : Kyle Knodell © ADAGP, Paris 2017.
Palais de Tokyo, exposition “Neïl Beloufa : L'Ennemi de mon ennemi”. Louis-Auguste Dechelette, “Le Grand soir”, 1ère conférence de l’O.N.U, 1946, FNAC 28785, Centre national des arts plastiques © Droits réservés. Photo : Yves Chenot.
Palais de Tokyo, exposition “Massinissa Selmani : Ce qui coule n'a pas de fin”. “Mémoires potentielles. Altération #1”, 2013-2017, installation avec animation en boucle projetée sur bois, plexiglass et papier, dimensions variables. Avec le soutien de la DRAC Centre. Courtesy de l’artiste et Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris.
Marianne Mispelaëre, “No man’s land”, 2014, action performative et collective de dessin, 3 performeurs min., stylo bille et papier non-couché 110gr. Crédit photo : Camille Olivieri.
Palais de Tokyo. Nina Chanel Abney : artiste en résidence, Facebook Office, New York City, 2017.
Palais de Tokyo, “Kader Attia & Jean Jacques Lebel : L'un et l'autre”. Statuette « maladie », venue de nulle part, c’est-à-dire hors contexte, 57 x 24 x 13 cm. Fonds de dotation Jean-Jacques Lebel.
Palais de Tokyo, “Kader Attia & Jean Jacques Lebel : L'un et l'autre”. Baïonnette autrichienne transformée en faucille par un poilu anonyme en 14/18, 36 x 12 x 2,4 cm. Fonds de dotation Jean-Jacques Lebel.
Musée du Louvre

Musée du Louvre, Rue de Rivoli, 75001 Paris,
Tél. 01 40 20 50 50
www.louvre.fr
Ouvert du mercredi au lundi de 9h à 18h.
Nocturnes le mercredi et le vendredi jusqu’à 21h45.

www.amisdulouvre.fr/adherez/adhesion/adherer-renouveler

 

Abonnements Amis du Louvre (1 an) :
-Adhérent tarif plein Solo: 80€
-Adhérent Duo : 120 €
-Jeune -26 ans Solo : 15€
-Jeune -26 Duo : 28€
-Jeune 26-29 : 35€
-Jeune 26-29 Duo : 60€
 

A voir actuellement :

-“Théâtre du pouvoir”, jusqu’au 2 juillet
-“Reliures précieuses dans les collections de la BnF au musée du Louvre”, jusqu’au 2 juillet
-“La France vue du Grand Siècle” - Dessins d’Israël Silvestre (1621-1691), jusqu’au 25 juin
-Delacroix (1798-1863), jusqu’au 23 juillet

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Musée du Louvre, exposition “Théâtre du pouvoir”. “Bustes des douze Césars”, Italie, 18e siècle. Paris, musée du Louvre © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Jean-Gilles Berizzi.
Musée du Louvre, exposition “Théâtre du pouvoir”. Olivier Roller, “Les Figures du pouvoir (extrait) - quadriptyque. Louis, roi - Bernard-Henri, penseur - Jules, empereur - Jacques, conseiller”, 2009-2016, tirages aux encres pigmentaires, contrecollés sur aluminium © Olivier Roller / Paris.
Musée du Louvre, exposition “Théâtre du pouvoir”. Jean-Auguste-Dominique Ingres, “Henri IV recevant l’ambassadeur d’Espagne”, 1817, huile sur toile. Paris, Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris © RMN-Grand Palais / Agence Bulloz.
Musée du Louvre, exposition “La France vue du Grand Siècle” - Dessins d’Israël Silvestre (1621-1691)”. Israël Silvestre, “Vue de Verdun”. Paris, musée du Louvre, département des Arts graphiques, Inv 33053 © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Michel Urtado.
Musée du Louvre, exposition “La France vue du Grand Siècle” - Dessins d’Israël Silvestre (1621-1691)”. Israël Silvestre, “Vue de la fontaine de la Renommée dans le parc du château de Versailles (recto)”. Paris, musée du Louvre, département des Arts graphiques, Inv 33017 © Musée du Louvre / Laurent Chastel.
Musée du Louvre, exposition “Reliures précieuses de la BNF exposées au Louvre”. “Evangiles de Drogon” © Bibliothèque nationale de France.
Musée du Louvre, exposition “Reliures précieuses de la BNF exposées au Louvre”. “Missel à l’usage de Saint-Denis” © Bibliothèque nationale de France.
Musée du Louvre, exposition “Reliures précieuses de la BNF exposées au Louvre”. “Premier Évangéliaire de la Sainte-Chapelle” © Bibliothèque nationale de France.
Musée du Louvre, exposition “Delacroix (1798 – 1863)”. Eugène Delacroix, “Le 28 juillet 1830. La Liberté guidant le peuple”, 1830, Salon de 1831, huile sur toile, 260 x 325 cm. Musée du Louvre © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Michel Urtado.
Musée du Louvre, exposition “Delacroix (1798 – 1863)”. Eugène Delacroix, “Autoportrait au gilet vert”, vers 1837, huile sur toile, 65 x 54 cm. Musée du Louvre © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Michel Urtado.
Musée du Louvre : Cour Napoléon et pyramide © 2013 Pyramide du Louvre, arch. I. M . Pei, Musée du Louvre / Olivier Ouadah.
Musée du Louvre, exposition “Delacroix (1798 – 1863)”. Eugène Delacroix, ”La Mer vue des hauteurs de Dieppe” dit aussi “La Mer à Dieppe”, vers 1852, huile sur bois, 35 x 51 cm. Musée du Louvre © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Philippe Fuzeau.
Musée du Louvre, exposition “Delacroix (1798 – 1863)”. Eugène Delacroix, ”Femmes d’Alger dans leur appartement”, 1833-1834, Salon de 1834, huile sur toile, 180 x 229 cm. Musée du Louvre © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Franck Raux.
Musée du Louvre, exposition “La France vue du Grand Siècle” - Dessins d’Israël Silvestre (1621-1691)”. Israël Silvestre, “Vue du château des Tuileries, prise de la Seine”. Paris, musée du Louvre, département des Arts graphiques, Inv 33013 © Musée du Louvre / Laurent Chastel.
Musée du Louvre, exposition “La France vue du Grand Siècle” - Dessins d’Israël Silvestre (1621-1691)”. Gérard Edelinck, “Portrait d’Israël Silvestre”. Paris, musée du Louvre, département des Arts graphiques, Inv 14511 LR © Musée du Louvre / Laurent Chastel.
Musée du Louvre, exposition “Théâtre du pouvoir”. François Rude, “Le Génie de la Patrie”, vers 1833- 1836, plâtre teinté. Paris, musée du Louvre © RMN-GP musée du Louvre / Franck Raux.
Musée du Louvre, exposition “Théâtre du pouvoir”. “Bustes des douze Césars”, Italie, 18e siècle. Paris, musée du Louvre © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Jean-Gilles Berizzi.
La Maison rouge

10, Boulevard de la Bastille, 75012 Paris,
Tél. 01 40 01 08 81
www.lamaisonrouge.org
Ouvert du mercredi au dimanche de 11h à 19h.
Nocturne le jeudi jusqu’à 21h.
www.lamaisonrouge.org/fr/tarifs-reservations/

 

Laissez-passer :
Le laissez-passer valable jusqu’au 31 octobre 2018 (date de fermeture de La Maison rouge) est dorénavant disponible au prix de 19 €, au lieu de 28 €, pour tous.
 

A voir prochainement avant la fermeture définitive :

-“Ceija Stojka : une artiste rom dans le siècle”,
du 23 février au 20 mai
-“Black Dolls – La collection Deborah Neef”,
du 23 février au 20 mai
-Lionel Sabatté, du 23 février au 20 mai
-“L’envol”, du 16 juin au 28 octobre

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La Maison Rouge, exposition “Ceija Stojka : une artiste rom dans le siècle”. “Sans titre”, sans date, acrylique sur carton. © Ceija Stojka, Adagp, 2017. Courtesy Galerie Kai Dikhas.
La Maison Rouge, exposition “L’envol”. Franco Zehnder, “Gustav Mesmer”, 1983. Photo : Franco Zehnder.
La Maison Rouge, exposition “Black Dolls – La collection Deborah Neef”. Auteur inconnu, “Poupée masculine aux grandes mains”, Etats-Unis, circa 1920, coton, paille, celle. Photo : Ellen McDermott, New York City.
La Maison Rouge, exposition “Black Dolls – La collection Deborah Neef”. Photographe anonyme, daguerreotype, Etats-Unis, circa 1855-65. Photo : Ellen McDermott, New York City.
La Maison Rouge, exposition “Black Dolls – La collection Deborah Neef”. Photographe anonyme, photographie format carte de visite, Burnham Studio, Norway, Maine, Etats-Unis, circa 1870-85. Photo : Ellen McDermott, New York City.
La Maison Rouge, exposition “Black Dolls – La collection Deborah Neef”. Photographe anonyme, photographie format carte de visite, Album de la famille Carrington, Norwich, Connecticut, Etats-Unis, circa 1910-20. Photo : Ellen McDermott, New York City.
La Maison Rouge, exposition “Black Dolls – La collection Deborah Neef”. Auteur inconnu, “Poupée à la robe vichy et foulard”, Etats-Unis, début du XXe siècle, coton Photo : Ellen McDermott, New York City.
La Maison Rouge, exposition “Black Dolls – La collection Deborah Neef”. Auteur inconnu, “Couple en habits du dimanche aux visages peints”, Etats-Unis, circa 1890-1910, matériaux divers, cuir. Photo : Ellen McDermott, New York City.
La Maison Rouge, exposition “Black Dolls – La collection Deborah Neef”. Auteur inconnu, “Poupée à deux têtes réversibles”, Etats-Unis, circa 1920-30, coton. Photo : Ellen McDermott, New York City.
La Maison Rouge, exposition “Ceija Stojka : une artiste rom dans le siècle”. “Der Krieg ist aus, Bergen-Belsen”, 1945, 2005, encre sur carton © Ceija Stojka, Adagp, 2017.
La Maison Rouge, exposition “Ceija Stojka : une artiste rom dans le siècle”. “Auschwitz 1944”, 2009, acrylique sur toile. © Ceija Stojka, Adagp, 2017. Collection Antoine de Galbert.
La Maison Rouge, exposition “Ceija Stojka : une artiste rom dans le siècle”. “Sans titre”, 2003, craie et acrylique sur papier. © Ceija Stojka, Adagp, 2017. Courtesy collection privée, Paris.
La Maison Rouge, exposition “Ceija Stojka : une artiste rom dans le siècle”. “Lazas ame, Wir schämen uns”, 1944, 2003, encre sur papier. © Ceija Stojka, Adagp, 2017. Courtesy Galerie Kai Dikhas.
La Maison Rouge, exposition “Ceija Stojka : une artiste rom dans le siècle”. “Z 6399”, 1994, acrylique sur carton. © Ceija Stojka, Adagp, 2017. Courtesy Collection privée, Paris.
La Maison Rouge, exposition “Ceija Stojka : une artiste rom dans le siècle”. “Sans titre”, 1993, acrylique sur carton. © Ceija Stojka, Adagp, 2017. Courtesy Hojda et Nuna Stojka.
La Maison Rouge, exposition “Black Dolls – La collection Deborah Neef”. Auteur inconnue, “Poupée aux bottines rouges”, États-Unis, fin du XIXe siècle. textiles divers, verre. Photo : Ellen McDermott, New York City.
La Maison Rouge, exposition “Black Dolls – La collection Deborah Neef”. Auteur inconnu, “Poupée chaussette à la chemise rouge”, Etats-Unis, circa 1920-1930, textiles divers, corde, bouton de perle. Photo : Ellen McDermott, New York City.
La Maison Rouge, exposition “Black Dolls – La collection Deborah Neef”. Auteur inconnu, “Poupée portant une robe tunique à motifs”, Etats-Unis, circa 1er quart du XXe siècle, coton. Photo : Ellen McDermott, New York City.
La Maison Rouge, exposition “Ceija Stojka : une artiste rom dans le siècle”. “Sans titre” sans date, acrylique sur carton. Courtesy Hojda et Nuna Stojka © Ceija Stojka, Adagp, 2017.
Fondation Louis Vuitton

8, Avenue du Mahatma Gandhi, 75116 Paris,
Tél. 01 40 69 96 00
www.fondationlouisvuitton.fr
Ouvert de 11h à 20h le lundi, mercredi, jeudi, de 11h à 21h le vendredi, de 9h à 21h le samedi et le dimanche, et de 9h à 21h tous les jours en période de vacances scolaires.
Nocturne tous les premiers vendredis du mois jusqu’à 23h.
http://www.fondationlouisvuitton.fr/membre.html

 

Programmes d’adhésion (1 an) :
-Y-Pass (individuel, accompagné d’une personne de son choix) : 180€
-Family Pass (en couple et jusqu’à 4 enfants) : 300€
-Collector (invitations privilégiées, visites personnalisées, catalogues d’exposition etc) : 900€

 

A voir actuellement et prochainement:

-“Etre Moderne : le MoMa à Paris”, jusqu’au 5 mars
-“La collection : une nouvelle sélection d’œuvres - L’Artiste, créateur de mondes”, du 10 avril au 27 août

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Fondation Louis Vuitton, exposition “Etre moderne : le MoMa à Paris”. Andy Warhol, “Double Elvis”, 1963, encre sérigraphique et peinture acrylique sur toile, 210,8 × 134,6 cm. The Museum of Modern Art, New York. Don de la Jerry and Emily Spiegel Family Foundation en hommage à Kirk Varnedoe, 2001. © The Andy Warhol Foundation for the Visual Arts, Inc. / Agadp, Paris 2017.
Fondation Louis Vuitton, exposition “Etre moderne : le MoMa à Paris”. Roy Lichtenstein, ”Drowning Girl” (Fille qui se noie), 1963, huile et peinture acrylique sur toile, 171,6 × 169,5 cm. The Museum of Modern Art, New York. Philip Johnson Fund (par échange) et don de M. et Mme Bagley Wright, 1971. © Estate of Roy Lichtenstein New York / ADAGP, Paris 2017.
Fondation Louis Vuitton, exposition “Etre moderne : le MoMa à Paris”. Shigetaka Kurita, “NTT DOCOMO”, Inc. Tokyo Emoji, 1998-1999, image numérique, dimensions variables. The Museum of Modern Art, New York. Don de NTT DOCOMO, Inc., 2016. © 2017 NTT DOCOMO.
Fondation Louis Vuitton, exposition “Etre moderne : le MoMa à Paris”. Yayoi Kusama, “Accumulation No.1.”, 1962, tissu cousu rembourré, peinture et frange de fauteuil, 94 × 99,1 × 109,2 cm. The Museum of Modern Art, New York. Don de William B. Jaffe et Evelyn A. J. Hall (par échange), 2012. © 2017 Yayoi Kusama.
Fondation Louis Vuitton : Iwan Baan pour la Fondation Louis Vuitton, Vue de la fondation ©Iwan Baan 2014 ©Gehry partners LLP.
Fondation Louis Vuitton : Iwan Baan pour la Fondation Louis Vuitton, Vue de la fondation ©Iwan Baan 2014 ©Gehry partners LLP.
Fondation Louis Vuitton, exposition “Etre moderne : le MoMa à Paris”. Cindy Sherman, “Untitled Film Still #21”, 1978, épreuve gélatino‑argentique, 19,1 × 24,1 cm. The Museum of Modern Art, New York Horace W. Goldsmith Fund par l’intermédiaire de Robert B. Menschel. 1995. Courtesy of the artist and Metro Pictures, New York. © 2017 Cindy Sherman.
Fondation Louis Vuitton, exposition “Etre moderne : le MoMa à Paris”. Ellsworth Kelly, “Colors for a Large Wall” (Couleurs pour un grand mur), 1951, huile sur toile, 64 panneaux, dimensions totales : 240 × 240 cm. The Museum of Modern Art, New York. Don de l’artiste, 1969. © 2017 The Estate of Ellsworth Kelly.
Fondation Louis Vuitton, exposition “Etre moderne : le MoMa à Paris”. Paul Cézanne, “Le Baigneur”, vers 1885, huile sur toile, 127 × 96,8 cm. The Museum of Modern Art, New York. Collection Lillie P. Bliss, 1934.
Fondation Louis Vuitton, exposition “Etre moderne : le MoMa à Paris”. Paul Signac, “Sur l’émail d’un fond rythmique de mesures et d’angles, de tons et de teintes, portrait de M. Félix Fénéon en 1890”, Opus 217, 1890, huile sur toile, 73,5 × 92,5 cm. The Museum of Modern Art, New York. Don de M. et Mme David Rockefeller, 1991.
Fondation Louis Vuitton, exposition “Etre moderne : le MoMa à Paris”. Rem Koolhaas — Madelon Vriesendorp Welfare, “Palace Hotel Project, Roosevelt Island, New York City, New York, Cutaway axonometric” (Projet pour le Welfare Palace Hotel, Roosevelt Island, New York City, État de New York, Axonométrie éclatée). 1976, gouache sur papier, 129,5 × 102,9 cm. The Museum of Modern Art, New York. Don de la Howard Gilman Foundation, 2000. © Adagp Paris, 2017.
Fondation Louis Vuitton, exposition “Etre moderne : le MoMa à Paris”. Rirkrit Tiravanija, “untitled (the days of this society is numbered / December 7, 2012)”, (sans titre [les jours de cette société est comptés / 7 décembre 2012]), 2014, acrylique et papier journal sur lin, 221 × 214,6 cm. The Museum of Modern Art, New York. Committee on Drawings and Prints Fund, 2014. © 2017 Rirkrit Tiravanija.
Fondation Louis Vuitton : Iwan Baan pour la Fondation Louis Vuitton, Vue de la fondation ©Iwan Baan 2014 ©Gehry partners LLP.
Fondation Louis Vuitton, exposition “Etre moderne : le MoMa à Paris”. Bruce Nauman, “Human/Need/Desire” (Humain/Besoin/Désir), 1983, tubes de néon et fils électriques, cadres de suspension en tube de verre, 239,8 × 179 ×65,4 cm. The Museum of Modern Art, New York. Don d’Emily et Jerry Spiegel, 1991.
Grand Palais

Grand Palais, 3, Avenue du Général Eisenhower, 75008 Paris,
Tél. 01 44 13 17 17
www.grandpalais.fr
Ouvert du mercredi au lundi jusqu’à 20h.
Nocturne le jeudi jusqu’à 22h pour les expositions temporaires.
www.grandpalais.fr/fr/formules-et-tarifs

 

Abonnements Pass Sésame (1 an):

Sésame, les pass-expos du Grand Palais:
Sésame Solo : 50€
Sésame Duo : 95€

Sésame+, les pass-expos du Grand Palais et du Musée du Luxembourg
Sésame+ Solo : 75€
Sésame+ Duo : 130€

Sésame Jeune, les pass-expos des jeunes de 30 ans et moins
Sésame 16-17 ans : Gratuit sur Internet
Sésame Jeune : 25€
Sésame+ Jeune : 35€

 

A voir prochainement :

-“Kupka, pionnier de l’abstraction”, du 21 mars au 30 juillet
-“Artistes & Robots”, du 5 avril au 9 juillet

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Grand Palais, exposition “Kupka”. František Kupka, “L’Eau (La baigneuse)”, 1906 – 1909, huile sur toile, 63 x 80 cm. France, Paris. Centre Pompidou, Musée national d’art moderne don d’Eugénie Kupka, 1963, en dépôt au musée des Beaux-Arts de Nancy © Adagp, Paris 2018 © Centre Pompidou, MNAM / CCI, Dist. Rmn-Grand Palais / DR.
Grand Palais, exposition “Kupka”. František Kupka, “Madame Kupka dans les verticales”, 1910-1911, huile sur toile, 135,5 x 85,3 cm. Etats-Unis, New York. The Museum of Modern Art, Hillman Periodicals Fund, 1956 © Adagp, Paris 2018 © Digital image, The Museum of Modern Art, MoMA, New York / Scala, Florence.
Grand Palais, exposition “Kupka”. František Kupka, “Autoportrait”, 1910, huile sur toile, 46 x 55 cm. République tchèque, Prague. Národní galerie v Praze, National Gallery in Prague don, 1946 © Adagp, Paris 2018 © National Gallery in Prague 2017.
Grand Palais, exposition “Kupka”. František Kupka, “La Montée”, 1922-1923, huile sur toile, 111,1 x 80,7 cm. Autriche, Vienne. Albertina Museum, collection Batliner © Adagp, Paris 2018 © The Albertina Museum, Vienna. The Batliner Collection.
Grand Palais, exposition “Kupka”. František Kupka, “Le Trait austère”, 1925, huile sur toile, 116,5 x 81 cm. France, Paris, Musée d’Art moderne de la Ville de Paris, donation Henry-Thomas, 1976 © Adagp, Paris 2018 © Musée d’Art moderne de la Ville de Paris / Roger-Viollet.
Grand Palais, exposition “Kupka”. František Kupka, “Circulaires et rectilignes”, 1937, huile sur contreplaqué, 102 x 102 cm. République tchèque, Prague, Národní galerie v Praze, National Gallery in Prague achat 1946 © Adagp, Paris 2018 © National Gallery in Prague 2017.
Grand Palais, exposition “Artistes et Robots”. Jean Tinguely, “Méta-Matic n°6”, 1959, trépied en fer, éléments en tôle, roues en bois, courroie en caoutchouc, baguettes métalliques, ensemble peint en noir, moteur électrique, 51 x 85 x 48 cm. Bâle, musée Tinguely. photo © Museum Tinguely, Basel / photo Christian Baur © Adagp, Paris 2018.
Grand Palais, exposition “Artistes et Robots”. Leonel Moura, “Robot Art”, 2017, essaim de robots et peintures, dimensions variables. © Leonel Moura / photo Rmn-GP - Thomas Granovsky.
Grand Palais, exposition “Artistes et Robots”. Vera Molnar, “Structure de quadrilatères”, 1986 (extrait), encre sur rouleau de papier informatique, H. 29,5 x L. 418 cm. © photo François Doury © Adagp, Paris 2018.
Grand Palais, exposition “Artistes et Robots”. Raquel Kogan, “Re exão #2”, 2005, installation interactive, logiciels customisés,miroirs et projection, dimensions variables. © Raquel Kogan / photo Nicolas Gaudelet.
Grand Palais, exposition “Artistes et Robots”. Elias Crespin, “Grand HexaNet”, 2018, 90 cylindres d’aluminium anodisé, nylon, moteurs, interface électronique, P. 4,395 x L. 5,025 m ; surface : 16,56 m ; amplitude : 10 m © Elias Crespin.
Grand Palais, exposition “Artistes et Robots”. Miguel Chevalier, “Extra-Natural”, 2018, oeuvre de réalité virtuelle générative et interactive. Logiciels : Cyrille Henry & Antoine Villeret. Production technique : Voxels Productions. Courtesy Lélia Mordoch, Paris / Miami © Miguel Chevalier / Adagp, Paris 2018 / photo Nicolas Gaudelet.
Grand Palais, exposition “Artistes et Robots”. Peter Kogler, “Untitled”, 2018, impression digitale sur vinyle, dimensions variables. © Peter Kogler.
Grand Palais : vue extérieure. © Mirco Magliocca
Grand Palais, exposition “Kupka”. František Kupka, “La Foire (Contredanse)”, 1921-1922, huile sur toile ; 73 x 238 cm. République tchèque, Prague. Museum Kampa - Nadace Jana a Medy Mládkových © Adagp, Paris 2018 © Musée Kampa, Prague Photo Oto Palán.
Grand Palais, exposition “Kupka”. František Kupka, “Disques de Newton”, 1912, huile sur toile, 100 x 73,7 cm. Etats-Unis, Philadelphie, Philadelphia Museum of Art. The Louise and Walter Arensberg Collection, 1950 © Adagp, Paris 2018 © Philadelphia Museum of Art.
Grand Palais, exposition “Kupka”. František Kupka, “Grand nu”. Plans couleurs, 1909 – 1910, huile sur toile, 150,2 x 180,7 cm. Etats-Unis, New York. Solomon R. Guggenheim Museum, don de Mrs. Andrew P. Fuller, 1968 © Adagp, Paris 2018 © The Solomon R. Guggenheim Foundation / Art Resource, NY, Dist. Rmn-Grand Palais.  
Grand Palais, exposition “Kupka”. František Kupka, “La Gamme jaune”, 1907, huile sur toile, 79 x 79 cm. France, Paris. Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, don d’Eugénie Kupka, 1963 © Adagp, Paris 2018 © Centre Pompidou, MNAM / CCI, Dist. Rmn-Grand Palais / Photo Bertrand Prévost.
MAD - Musée des Arts décoratifs

107, Rue de Rivoli, 75001 Paris,
Tél. 01 44 55 57 50
www.madparis.fr
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h.
Les Nocturnes (reprennent à partir du 28 mars), le jeudi jusqu’à 21h pour les expositions temporaires (dernier accès à 20h30).
www.lesartsdecoratifs.fr/francais/qui-sommes-nous/soutenez-nous/particuliers/rejoignez-les-amis-des-arts-decoratifs/adhesion-et-avantages

 

Abonnements Carte Pass :
-Pass Jeune (étudiants et -26 ans) : 15€
-Pass Ami : 40€
-Pass Ami Duo : 60€
 

A voir actuellement :

-“Constance Guisset Design, Action !”, jusqu’au 11 mars

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Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Ankara”, collection de tables, 2014, ed. Matière Grise, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Spin”, tapis, 2013, ed. nodus, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Apollo”, lampe, 2017, ed. Constance Guisset Studio, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Canova”, plat, 2017, ed. moustache, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Loop”, lampe, 2015, ed. fabbian, Constance Guisset Studio, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Constance Guisset X Monoprix”, Monoprix, 2017, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Sol”, fauteuil, 2012, ed. Molteni &C, image © Constance Guisset Studio
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Angelin”, lampe, Prototype, 2009, ed. Constance Guisset Studio, 2017, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Cairn”, boîtes, 2011, ed. Petite friture, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Zacatecas”, lampe, 2017, ed. Constance Guisset Studio, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Culbuto, Clé USB, 2014, ed. La Cie, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Aimant”, collection de bijoux, 2015, ed. Galerie Minimasterpiece, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Cape”, lampe, 2014, ed. moustache, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Wonder Cape”, lampe, 2017, ed. Constance Guisset Studio, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. Nubilo”, canapé, ed. Petite friture, 2014, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Chantilly”, lampe, 2013, ed. Moustache, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Cumulus”, diffuseur d’huiles essentielles et boîte, 2015, ed. Nature & Découvertes, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Funambule”, Couverts, Prototype, 2008, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Plume”, lit modulable, 2017, ed. Cyrillus, image © Constance Guisset Studio.
Musée des Arts Décoratifs, exposition “Constance Guisset : Design Actio !”. “Flamingo”, Bureau, 2015, ed. La Redoute, image © Constance Guisset Studio.
Musée du Jeu de Paume

1, Place de la Concorde, 75008 Paris,
Tél. 01 47 03 12 50
www.jeudepaume.org
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 19h.
Nocturne le mardi jusqu’à 21h (dernier accès à 20h30).
www.jeudepaume.org/index.php?page=article&idArt=393

 

Abonnements Ami du Jeu de Paume (1 an) :
-Ami Solo : 130€
-Ami Duo : 200€
-Ami Jeune (-30 ans) Solo : 55€
-Ami Jeune (-30ans) Duo : 85€

La carte amis du Jeu de Paume permet un accès gratuit aux institutions amies: Le Bal de Paris, le FOAM Amsterdam, le Fotomuseum de Winterthur.

 

A voir actuellement et prochainement :

-Raoul Hausmann : “Un regard en mouvement”, jusqu’au 20 mai
-Susan Meiselas : “Médiations”, jusqu’au 20 mai
-Damir Ocko : “Dicta” / Satellite 11, une programmation d’Agnès Violeau,  jusqu’au 20 mai
-Gordon Matta-Clark : “Anarchitecte”,
du 5 juin au 23 septembre
-Bouchra Khalili, du 5 juin au 23 septembre
-Daphné Le Sergent : “Géopolitique de l’oubli” / Satellite 11, une programmation d’Agnès Violeau, du 5 juin au 23 septembre.

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Musée du Jeu de Paume, exposition “Bouchra Khalili”. “The Tempest Society”, 2017, film, 60 min. © Bouchra Khalili / Galerie Polaris, Paris.
Musée du Jeu de Paume, exposition “Daphné Le Sergent :Géopolitique de l’oubli”. Daphné Le Sergent, “Politique, visage”, 2013 © Daphné Le Sergent.
Musée du Jeu de Paume, exposition “Bouchra Khalili”. “Wet Feet: Lost Boats”, 2012. © Bouchra Khalili / Galerie Polaris, Paris.
Musée du Jeu de Paume, exposition “Gordon Matta-Clark, Anarchitecte”. Gordon Matta-Clark, “Gordon Matta-Clark making Day’s End (Pier 52)”, 1975 © 2017 Estate of Gordon Matta-Clark / Artists Rights Society (ARS), New York and David Zwirner, New York.
Musée du Jeu de Paume, exposition “Gordon Matta-Clark, Anarchitecte”. Gordon Matta-Clark, “Graffiti: Linda”, 1973 © Gordon Matta-Clark.
Musée du Jeu de Paume, exposition “Gordon Matta-Clark, Anarchitecte”. Harry Gruyaert, “Gordon Matta-Clark and Gerry Hovagimyan working on Conical Intersect”, 1975 © 2017 Estate of Gordon Matta-Clark / Artists Rights Society (ARS), New York and David Zwirner, New York.
Musée du Jeu de Paume, exposition “Raoul Haussmann, un regard en mouvement”. “Deux nus féminins allongés sur une plage”, vers 1931-1934 © ADAGP, Paris, 2017. Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI. Dist. RMN-Grand Palais / Guy Carrard.
Musée du Jeu de Paume, exposition “Raoul Haussmann, un regard en mouvement”. “Nu (Vera Broïdo, vue de dos)”, 1927 © Musée départemental d’art contemporain de Rochechouart.
Musée du Jeu de Paume, exposition “Raoul Haussmann, un regard en mouvement”. “Sans titre (Paysage de dunes)”, entre 1927 et 1933 © Berlinische Galerie – Landesmuseum für Moderne Kunst, Fotografie und Architektur/VG Bild-Kunst, Bonn.
Musée du Jeu de Paume, exposition “Raoul Haussmann, un regard en mouvement”. “Sans titre (Vera Broïdo)”, vers 1931 © Berlinische Galerie – Landesmuseum für Moderne Kunst, Fotografie und Architektur/VG Bild-Kunst, Bonn.
Musée du Jeu de Paume, exposition “Susan Meiselas : Méditations”. “Dee et Lisa, Mott Street, Little Italy, New York”, 1976, série “Prince Street Girls”, 1975-1990 © Susan Meiselas/ Magnum Photos.
Musée du Jeu de Paume, exposition “Susan Meiselas : Méditations”. “Sandinistes aux portes du quartier général de la Garde nationale à Esteli : “L’homme au cocktail Molotov”, Nicaragua, 16 juillet 1979. © Susan Meiselas/ Magnum Photos.
Musée du Jeu de Paume, exposition “Susan Meiselas : Méditations”. “Muchachos attendant la riposte de la Garde nationale”, Matagalpa, Nicaragua, 1978 © Susan Meiselas/ Magnum Photos.
Musée du Jeu de Paume, exposition “Bouchra Khalili”. “Speeches-Chapter 1: Mother Tongue”, 2012, vidéo, 25 min. © Bouchra Khalili / Galerie Polaris, Paris.
Musée du Jeu de Paume, exposition “Damir Očko : Dicta”: Damir Očko, “Dicta I”, 2017 © Damir Očko.
Fondation Cartier pour l’art contemporain

261, Boulevard Raspail, 75014 Paris
Tél. 01 42 18 56 50
www.fondationcartier.com
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 20h.
Nocturne le mardi jusqu’à 22h.
http://eshop.fondationcartier.com/fr/23-laissez-passer

 

Laissez-passer (1 an):
-Individuel : 30€
-Individuel Tarif Réduit (seniors, étudiants, familles nombreuses) : 25€
-Individuel Tarif Jeune (- de 25 ans) : 18€
-Duo : 50€

 

A voir actuellement et prochainement :

-Malick Sidibé : “Mali Twist”, jusqu’au 25 février
-Junya Ishigami : “Freeing Architecture”, du 30 mars au 10 juin

 

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Fondation Cartier, exposition “Junya Ishigami : Freeing Architecture”. “Kanagawa Institue of Technology Workshop”, vue extérieure. ©junya.ishigami+associates.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. Malick Sidibé, c. 1972, tirage gélatino-argentique, 120 x 120 cm. Courtesy succession Malick Sidibé © Malick Sidibé.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. “Combat des amis avec pierres au bord du Niger”, 1976, tirage gélatino-argentique,99 x 99,5 cm. Collection Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris © Malick Sidibé.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. Malick Sidibé, 1973, tirage gélatino- argentique, 50 x 60 cm. Courtesy succession Malick Sidibé © Malick Sidibé.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. Malick Sidibé, c. 1969, tirage gélatino-argentique, 120 x 120 cm. Courtesy succession Malick Sidibé © Malick Sidibé.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. “Nuit de Noël”, 1963, tirage gélatino-argentique, 100,5 x 100 cm. Collection Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris © Malick Sidibé.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. “Pique-nique à la Chaussée”, 1972, tirage gélatino-argentique, 60,5 x 50,5 cm. Collection Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris © Malick Sidibé.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. “Regardez-moi !”, 1962, tirage gélatino-argentique, 99,5 x 100,5 cm. Collection Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris © Malick Sidibé.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. “Un gentleman en position”, 1980, tirage gélatino-argentique signé, 2013. 50,5 x 40,5 cm. Courtesy Galerie MAGNIN-A, Paris © Malick Sidibé.
Fondation Cartier, exposition “Junya Ishigami : Freeing Architecture”. “Art Biofarm”, vue en perspective. ©junya.ishigami+associates.
Fondation Cartier, exposition “Junya Ishigami : Freeing Architecture”. “Art Biofarm”, vue en perspective. ©junya.ishigami+associates.
Fondation Cartier, exposition “Junya Ishigami : Freeing Architecture”. “House with Plants”, vue intérieure. ©junya.ishigami+associates.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. Malick Sidibé, 1968, tirage gélatino-argentique, 120 x 120 cm. Courtesy succession Malick Sidibé © Malick Sidibé.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. “Mon chapeau et pattes d’éléphant”, 1974, tirage gélatino-argentique, 60,5 x 50,5 cm. Courtesy CAAC – The Pigozzi Collection, Genève © Malick Sidibé.
Fondation Cartier, exposition “Junya Ishigami : Freeing Architecture”. “House of Peace”, perspective sectionnelle. ©junya.ishigami+associates.
Fondation Cartier, exposition “Junya Ishigami : Freeing Architecture”. “House of Peace”, perspective extérieure. ©junya.ishigami+associates.
Fondation Cartier, exposition “Junya Ishigami : Freeing Architecture”. “Home for the Elderly“, miniature. ©junya.ishigami+associates.
Fondation Cartier, exposition “Junya Ishigami : Freeing Architecture”. “Church of Valley”, vue en perspective de la Chapel of Valley de l’intérieur à l’extérieur. ©junya.ishigami+associates.
Fondation Cartier : vue extérieure de la Fondation. Photo : Luc Boegly.
Fondation Cartier, exposition “Junya Ishigami : Freeing Architecture”. Kanagawa Institue of Technology Workshop, vue intérieure. ©junya.ishigami+associates.
Fondation Cartier, exposition “Junya Ishigami : Freeing Architecture”. “Kanagawa Institue of Technology Workshop”, vue extérieure. ©junya.ishigami+associates.
Fondation Cartier, exposition “Junya Ishigami : Freeing Architecture”. “Kanagawa Institue of Technology Workshop”, vue extérieure. ©junya.ishigami+associates.
Fondation Cartier, exposition “Junya Ishigami : Freeing Architecture”. House and Restaurant, miniature. ©junya.ishigami+associates.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. “Les faux agents du FBI”, 1974, tirage gélatino-argentique signé, 2011. 60 x 50 cm. Courtesy collection André Magnin © Malick Sidibé.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. “Les amis dans la même tenue”, 1972, tirage gélatino- argentique, 50,5 x 40,5 cm. Courtesy CAAC – The Pigozzi Collection, Genève © Malick Sidibé.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. “Fans de James Brown”, 1965, tirage gélatino-argentique, 50,5 x 40,5 cm. Collection Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris © Malick Sidibé.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. “Danser le twist”, 1965, tirage gélatino-argentique, 100,5 x 99 cm. Collection Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris © Malick Sidibé.
Fondation Cartier, exposition “Malick Sidibé”. Malick Sidibé, 1973, tirage gélatino- argentique, 50 x 60 cm. Courtesy succession Malick Sidibé © Malick Sidibé.
MAC VAL

Place de la Libération, 94400 Vitry-sur-Seine,
Tél. 01 43 91 64 20
www.macval.fr
Ouvert du mardi au vendredi de 10h à 18h, les samedis,
dimanches et jours fériés de 12h à 19h.

 

A voir actuellement et prochainement :

-Elisabeth Ballet : “Tout en un plus trois”, jusqu’au 25 février
-“De l’intuition au réel – Hommage à Jacques Ripault”,
jusqu’au 25 février
-Kader Attia : “Les racines poussent aussi dans le béton”,
du 14 avril au 3 septembre

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MAC VAL, exposition “Kader Attia : Les racines poussent aussi dans le béton”. “Untitled”, 2009, installation, couscous fin, 20 moules, peinture acrylique noire, 15 x 400 x 400 cm. Collection Frac Centre-Val de Loire. © Adagp Paris, 2018. Photo © François Fernandez/CCC.
MAC VAL, exposition “Kader Attia : Les racines poussent aussi dans le béton”. “Untitled”, 2009, installation, couscous fin, 20 moules, peinture acrylique noire, 15 x 400 x 400 cm. Collection Frac Centre-Val de Loire. © Adagp Paris, 2018. Photo © François Fernandez/CCC.
MAC VAL, exposition “Elisabeth Ballet : Tout en un plus trois”. “BCHN”, 1997, plastique translucide, acier, bois, moquette rouge. Vue de l’exposition “Tout En Un Plus Trois”, MAC VAL 2017. © Adagp, Paris 2017. Photo © Marc Domage.
MAC VAL, exposition “Elisabeth Ballet : Tout en un plus trois”. “BCHN”, 1997, plastique translucide, acier, bois, moquette rouge. Vue de l’exposition “Tout En Un Plus Trois”, MAC VAL 2017. © Adagp, Paris 2017. Photo © Marc Domage.
MAC VAL, exposition “Elisabeth Ballet : Tout en un plus trois”. “BCHN”, 1997, plastique translucide, acier, bois, moquette rouge. Vue de l’exposition “Tout En Un Plus Trois”, MAC VAL 2017. © Adagp, Paris 2017. Photo © Marc Domage.
MAC VAL : Vue de l’exposition “Elisabeth Ballet : Tout en un plus trois”, MAC VAL 2017. Au premier plan, “Contrôle 3”, 1996 – 2017. Plexiglas, 171 x 250 x 150 cm. © Adagp, Paris 2017. Photo © Marc Domage.
MAC VAL : Vue de l’exposition “Elisabeth Ballet : Tout en un plus trois”, MAC VAL 2017. À droite, “Corridor noir”, 1994, acier, polyester, 180 × 600 cm × P. variable. © Adagp, Paris 2017. Photo © Marc Domage.
MAC VAL, exposition “Elisabeth Ballet : Tout en un plus trois”. “Emmanuelle”, série “JEJ”, 1988, médium enduit, H 100 x L 156 x P 220 cm. Collection FRAC Bretagne. Vue de l’exposition “Tout En Un Plus Trois”, MAC VAL 2017. © Adagp, Paris 2017. Photo © Marc Domage.
MAC VAL, exposition “Elisabeth Ballet : Tout en un plus trois”. “Lazy Days”, 2007, enseigne lumineuse, 40 x 226 x 8 cm. Vue de l’exposition “Tout En Un Plus Trois”, MAC VAL 2017. © Adagp, Paris 2017. Photo © Marc Domage.
MAC VAL, exposition “Elisabeth Ballet : Tout en un plus trois”. “Lazy Days”, 2007, échelle en bois, peinture murale, dimension variable (échelle H 315, 5 cm). Vue de l’exposition “Tout En Un Plus Trois”, MAC VAL 2017. © Adagp, Paris 2017. Photo © Marc Domage.
MAC VAL : Vue de l’exposition “Elisabeth Ballet : Tout en un plus trois”, MAC VAL 2017. Au premier plan, “Leica”, 2004, film vert transparent sur plexiglas, H 180 x L 980 x P 80cm. Collection Fonds national d’art contemporain, ministère de la culture et de la communication. © Adagp, Paris 2017. Photo © Marc Domage.
MAC VAL, exposition “Kader Attia : Les racines poussent aussi dans le béton”. “Untitled (Skyline)”, 2007-2012, réfrigérateurs, peinture noire, tesselles de miroir. Collection MAC VAL – Musée d’art contemporain du Val-de-Marne. Acquis avec la participation du FRAM Île-de-France © Adagp, Paris 2018. Photo © Marc Domage.
MAC VAL, exposition “Kader Attia : Les racines poussent aussi dans le béton”. “Rochers carrés”, 2008, ensemble constitué de 9 impressions photographiques couleur sur papier satin, 51 x 76 cm (chaque). Collection MAC VAL – Musée d’art contemporain du Val-de-Marne. Acquis avec la participation du FRAM Île-de-France © Adagp, Paris 2018. Photo © Jacques Faujour.
MAC VAL, exposition “Kader Attia : Les racines poussent aussi dans le béton”. “Réfléchir la mémoire”, 2016, vidéo HD, couleur, son, 48’ min. Avec l’aimable autorisation de la Galleria Continua. © Adagp, Paris 2018.
MAC VAL, exposition “Kader Attia : Les racines poussent aussi dans le béton”. “The End and the Beginning”, 2013, dyptique, caissons lumineux. Avec l’aimable autorisation de l’artiste de la Galerie Krinzinger. © Adagp, Paris 2018.
MAC VAL, exposition “Kader Attia : Les racines poussent aussi dans le béton”. “Traditional Repair, Immaterial Injury”, 2014, sculpture in situ, agrafes métalliques, béton. Vue de l’exposition « La vie moderne », Biennale de Lyon, Lyon, 2016. Avec l’aimable autorisation de l’artiste. © Adagp, Paris 2018. Photo © Blaise Adilon.
MAC VAL, exposition “Kader Attia : Les racines poussent aussi dans le béton”. “Untitled”, 2017, sculpture, miroir, contre-plaqué, poutres en acier, chaussures. Vue de l’exposition « Reason’s Oxymorons », Lehmann Maupin, New York, 2017. Avec l’aimable autorisation de l’artiste et de Lehmann Maupin. © Adagp, Paris 2018. Photo © Max Yawney.
MAC VAL, exposition “Kader Attia : Les racines poussent aussi dans le béton”. “Modern Architecture Genealogy”, 2014, collage, carton, photographies d’archive. Avec l’aimable autorisation de l’artiste de la Galerie Krinzinger. © Adagp, Paris 2018. Photo © Axel Schneider.
MAC VAL, exposition “Kader Attia : Les racines poussent aussi dans le béton”. “Oil and Sugar”, 2007, vidéo, couleur, son, 4’30 min. Avec l’aimable autorisation de l’artiste de la Galerie Nagel Draxler. Collection Tate Modern, Londres et ICA Institute for Contemporary Art Boston. © Adagp, Paris 2018.
MAC VAL, exposition “De l’intuition au réel – Hommage à Jacques Ripault”. Jacques Ripault, MAC VAL – Musée d’art contemporain du Val-de-Marne, ouverture 2005. Perspective (aquarelle). Peinture Jacques Ignazi.
MAC VAL, exposition “De l’intuition au réel – Hommage à Jacques Ripault”. Jacques Ripault, MAC VAL – Musée d’art contemporain du Val-de-Marne, ouverture 2005. Croquis préparatoire.
MAC VAL, exposition “De l’intuition au réel – Hommage à Jacques Ripault”. Jacques Ripault, École des Arts et conservatoire de musique de Carcassonne (détail), ouverture 2012. Photo © Patrick Muller.
MAC VAL, exposition “Elisabeth Ballet : Tout en un plus trois”. “BCHN”, 1997, plastique translucide, acier, bois, moquette rouge. Vue de l’exposition “Tout En Un Plus Trois”, MAC VAL 2017. © Adagp, Paris 2017. Photo © Marc Domage.
MAC VAL, exposition “Elisabeth Ballet : Tout en un plus trois”. “BCHN”, 1997, plastique translucide, acier, bois, moquette rouge. Vue de l’exposition “Tout En Un Plus Trois”, MAC VAL 2017. © Adagp, Paris 2017. Photo © Marc Domage.
MAC VAL : Vue de l’exposition “Elisabeth Ballet : Tout en un plus trois”, MAC VAL 2017. Au premier plan, “Fabrique II”, 1999, contreplaqué, H 115 x L 188 x P 151 cm. Collection FRAC Aquitaine. © Adagp, Paris 2017. Photo © Marc Domage.
MAC VAL, exposition “De l’intuition au réel – Hommage à Jacques Ripault”. Jacques Ripault, Scène de musiques actuelles La Carène, Brest, ouverture 2005. Perspective, perspectivistes : Atelier Connoly-Cleary.
MAC VAL, exposition “De l’intuition au réel – Hommage à Jacques Ripault”. Jacques Ripault, 90 Logements Place du Soleil Levant, Gentilly, 1997. Croquis préparatoire.
MAC VAL, exposition “De l’intuition au réel – Hommage à Jacques Ripault”. Jacques Ripault, Espace Culturel Luxembourg, Meaux, ouverture 1994. Photo © Jean- Marie Monthiers.
MAC VAL, exposition “De l’intuition au réel – Hommage à Jacques Ripault”. Jacques Ripault, Espace Culturel Luxembourg, Meaux, médiathèque, ouverture 1994. Photo © Olivier Wogenscky.
MAC VAL, exposition “De l’intuition au réel – Hommage à Jacques Ripault”. Jacques Ripault, MAC VAL – Musée d’art contemporain du Val-de-Marne, ouverture 2005. Chantier, photo © Pauline Turmel.
MAC VAL, exposition “De l’intuition au réel – Hommage à Jacques Ripault”. Jacques Ripault, MAC VAL – Musée d’art contemporain du Val-de-Marne, ouverture 2005. Croquis préparatoire.
MAC VAL : Elisabeth Ballet, vue de l’exposition “Tout En Un Plus Trois”, MAC VAL 2017. © Adagp, Paris 2017. Photo © Marc Domage.
Maison européenne de la Photographie

5/7, Rue de Fourcy, 75004 Paris,
Tél. 01 44 78 75 00
www.mep-fr.org
Ouvert du mercredi au dimanche de 11h à 19h45.
www.mep-fr.org/infos-pratiques/

 

Abonnements (1 an) :
-Carte individuelle tarif plein : 32€
-Carte tarif réduit : 26€
-Carte duo : 50€

 

A voir actuellement et prochainement :

-“Obsession Marlene” – Pierre Passebon collectionneur, jusqu’au 25 février
-Nino Migliori : “La matière des rêves”, jusqu’au 25 février
-Un photographe pour Eurazeo, collection et lauréats du Grand Prix Eurazeo, jusqu’au 25 février
-Eugénia Granchamp des Raux : “Momento Cariocas”, jusqu’au 25 février
-“La photographie française existe, je l’ai rencontrée”, du 7 mars au 20 mai
-Roger Moukarzel : “La MEP au féminin”, du 7 mars au 20 mai
-Olivia Gay : “En(visage)ées”, du 7 mars au 20 mai
-Guillaume de Sardes : “Fragments d’une histoire d’amour”,
du 7 mars au 20 mai
-James Nachtwey, du 30 mai au 29 juillet
-Nicolàs Combarro, du 30 mai au 29 juillet

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Maison Européenne de la Photographie, exposition “Obsession Marlene. Pierre Passebon collectionneur”. Eugene Richee, “Morocco”, 1930, lm dirigé par Josef von Sternberg © DILTZ/Bridgeman Images.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Obsession Marlene. Pierre Passebon collectionneur”. François Gragnon, “Marlene Dietrich, Théâtre de l’Étoile”, 1959 © François Gragnon / Paris Match / La Galerie de l’Instant.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Eugenia Grandchamp des Raux”. Eugenia Grandchamp des Raux, “Bacchanales”, 2008 © Eugenia Grandchamp des Raux.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Guillaume de Sardes. Fragments d’une histoire d’amour”. Guillaume de Sardes, “Fragments d’une histoire d’amour”, 2012, N°I © Guillaume de Sardes.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Guillaume de Sardes. Fragments d’une histoire d’amour”. Guillaume de Sardes, “Fragments d’une histoire d’amour”, 2015, N°I © Guillaume de Sardes.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Guillaume de Sardes. Fragments d’une histoire d’amour”. Guillaume de Sardes, “Fragments d’une histoire d’amour”, 2017, N°I © Guillaume de Sardes.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Nino Migliori. La matière des rêves”. Nino Migliori, “Bologna”, 1958 © Fondazione Nino Migliori, Bologna, Italie.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Nino Migliori. La matière des rêves”. Nino Migliori, “Cellogramme”, 1956 © Fondazione Nino Migliori, Bologna, Italie.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Nino Migliori. La matière des rêves”. Nino Migliori, “Cuprum #2”, 2015 © Fondazione Nino Migliori, Bologna, Italie.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Nino Migliori. La matière des rêves”. Nino Migliori, “Il garzone del barbiere”, 1956, série “Gente del Sud” © Fondazione Nino Migliori, Bologna, Italie.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Nino Migliori. La matière des rêves”. Nino Migliori, série “Cancellazioni”, 1954 © Fondazione Nino Migliori, Bologna, Italie.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Nino Migliori. La matière des rêves”. Nino Migliori, série “Cinquantapersessanta”, 1991 © Fondazione Nino Migliori, Bologna, Italie.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Nino Migliori. La matière des rêves”. Nino Migliori, série “Il luoghi di Morandi”, 1985 © Fondazione Nino Migliori, Bologna, Italie.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Nino Migliori. La matière des rêves”. Nino Migliori, série “Lumen », Il Compianto di Niccolò dell’Arca, 2012 © Fondazione Nino Migliori, Bologna, Italie.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “La photographie française existe, je l’ai rencontrée”. Bernard Faucon, “La boule de feu”, 1981, série “Évolution probable du temps” © Bernard Faucon. Collection Maison Européenne de la Photographie, Paris.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “La photographie française existe, je l’ai rencontrée”. Denis Darzacq, “Maloyn Chatelin, Acte 31, Brest, Finistère”, 2011 © Denis Darzacq. Collection Maison Européenne de la Photographie, Paris.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “La photographie française existe, je l’ai rencontrée”. Jean-Christophe Ballot, “Ostrowiec, Pologne”, 2001 © Jean-Christophe Ballot. Collection Maison Européenne de la Photographie, Paris.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “La photographie française existe, je l’ai rencontrée”. Klavdij Sluban, “Pologne”, 2005, série “Transsibériades” © Klavdij Sluban, courtesy galerie Klüser, Munich. Collection Maison Européenne de la Photographie, Paris.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “La photographie française existe, je l’ai rencontrée”. Pierre et Gilles, “Les amants de Paris”, 2018 © Pierre et Gilles.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “La photographie française existe, je l’ai rencontrée”. Stéphane Couturier, “Barcelone, Parallel n°1”, 2008 © Stéphane Couturier. Collection Maison Européenne de la Photographie, Paris. Courtesy la Galerie Particulière Paris – Bruxelles.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Obsession Marlene. Pierre Passebon collectionneur”. Don English, “Blonde Venus”, 1932, lm dirigé par Josef von Sternberg © Bridgeman Images.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Obsession Marlene. Pierre Passebon collectionneur”. Eugene Richee, “Marlene Dietrich”, vers 1932 © Everett Collection/Bridgeman Images.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Obsession Marlene. Pierre Passebon collectionneur”. Eugene Richee, “Marlene Dietrich” © Bridgeman Images.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Obsession Marlene. Pierre Passebon collectionneur”. George Hurrell, “Marlene Dietrich”, vers 1935-1936 © Bridgeman Images.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Obsession Marlene. Pierre Passebon collectionneur”. Ray Jones, “Marlene Dietrich, Pittsburgh”, 1942 © Everett Collection/Bridgeman Images.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Olivia Gay : Envisagées”. Olivia Gay, “Domestica”, Rio de Janeiro, 2013 © Olivia Gay.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Olivia Gay : Envisagées”. Olivia Gay, “Isabelle, Visiteuse”, Calais, 2013, série “Les Dentellières de Calais” © Olivia Gay.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Olivia Gay : Envisagées”. Olivia Gay, “La Prière”, Dominicaine du Monastère Saint-Maximin, (Provence), 2007, de la série “Ora et Labora” © Olivia Gay.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Olivia Gay : Envisagées”. Olivia Gay, “Lili”, détenue de la Maison d’arrêt de Caen, 2016 © Olivia Gay.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Olivia Gay : Envisagées”. Olivia Gay, “Salimatu”, Kolondimba, Mali, 2009 © Olivia Gay.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Olivia Gay : Envisagées”. Olivia Gay, “Yuleisy”, Jineteras, Cuba, 1997 © Olivia Gay.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Roger Moukarzel. Des femmes dans la photographie”. Roger Moukarzel, “Anne Cartier-Bresson” © Roger Moukarzel.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Roger Moukarzel. Des femmes dans la photographie”. Roger Moukarzel, “Barbara Polla” © Roger Moukarzel.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Roger Moukarzel. Des femmes dans la photographie”. Roger Moukarzel “Claudine Boni” © Roger Moukarzel.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Roger Moukarzel. Des femmes dans la photographie”. Roger Moukarzel, “Françoise Docquiert” © Roger Moukarzel.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Roger Moukarzel. Des femmes dans la photographie”. Roger Moukarzel, “Marie Docher” © Roger Moukarzel.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Nino Migliori. La matière des rêves”. Nino Migliori, série “Gente dell’Emilia”, 1957 © Fondazione Nino Migliori, Bologna, Italie.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Obsession Marlene. Pierre Passebon collectionneur”. George Hurrell, “Marlene Dietrich”, vers 1935-1936 © Bridgeman Images.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Olivia Gay : Envisagées”. Olivia Gay, “Yuleisy”, Jineteras, Cuba, 1997 © Olivia Gay.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Guillaume de Sardes. Fragments d’une histoire d’amour”. Guillaume de Sardes, “Fragments d’une histoire d’amour”, 2013, N°IV © Guillaume de Sardes.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Eugenia Grandchamp des Raux”. Eugenia Grandchamp des Raux, “Bacchanales”, 2008 © Eugenia Grandchamp des Raux.
Maison Européenne de la Photographie, exposition “Roger Moukarzel. Des femmes dans la photographie”. Roger Moukarzel, “Marie Docher” © Roger Moukarzel.
Fondation Henri Cartier-Bresson

2, Impasse Lebouis, 75014 Paris,
Tél. 01 56 80 27 00
www.henricartierbresson.org
Ouvert du mardi au dimanche de 13h à 18h30, le samedi de 11h à 18h45. Nocturne le mercredi jusqu’à 20h30 (dernier accès à 20h).
www.henricartierbresson.org/fondation/les-amis-fondation/

 

Amis de la Fondation (1 an) :
-Individuel : 100€
-Etudiant / Tarif Réduit : 60€
-Donateur : 200€
-Bienfaiteur : au-delà de 200€

 

A voir actuellement :

-“Zbigniew Dłubak – Héritier des avant-gardes”,
jusqu’au 29 avril

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Fondation Henri Cartier-Bresson, exposition “Zbigniew Dlubak, héritier des avant-gardes”. “Desymbolizacje” [Désymbolisations], 1978 © Armelle Dłubak / Archeology of Photography Foundation, Varsovie.
Fondation Henri Cartier-Bresson, exposition “Zbigniew Dlubak, héritier des avant-gardes”. “Tautologies”, 1971 © Armelle Dłubak / Archeology of Photography Foundation, Varsovie.
Fondation Henri Cartier-Bresson, exposition “Zbigniew Dlubak, héritier des avant-gardes”. “Ulice są dla ludzi, nie dla Słońca” [Les rues sont pour le soleil et non pour les hommes], 1948 © Armelle Dłubak / Archeology of Photography Foundation, Varsovie.
Fondation Henri Cartier-Bresson, 2004 © Martine Franck / Magnum Photos. Courtesy Fondation Henri Cartier-Bresson.
Fondation Henri Cartier-Bresson, exposition “Zbigniew Dlubak, héritier des avant-gardes”. Série “Gestykulacje” [Gesticulations], 1970-1978 © Armelle Dłubak / Archeology of Photography Foundation, Varsovie.
Fondation Henri Cartier-Bresson, exposition “Zbigniew Dlubak, héritier des avant-gardes”. “Sans titre”, vers 1970 © Armelle Dłubak / Archeology of Photography Foundation, Varsovie.
Fondation Henri Cartier-Bresson, exposition “Zbigniew Dlubak, héritier des avant-gardes”. “Sans titre”, vers 1946 © Armelle Dłubak / Archeology of Photography Foundation, Varsovie.
Fondation Henri Cartier-Bresson, exposition “Zbigniew Dlubak, héritier des avant-gardes”. “Przypominam samotnosc ciesniny” [Je rappelle la solitude des détroits], illustration pour le poème de Pablo Neruda “Le cœur magellanique”, 1948 © Armelle Dłubak / Archeology of Photography Foundation, Varsovie.
Fondation Henri Cartier-Bresson, exposition “Zbigniew Dlubak, héritier des avant-gardes”. “Sans titre”, vers 1950 © Armelle Dłubak. Fondation Henri Cartier-Bresson : Zbigniew Dlubak, esquisse pour la série “Amonity [Ammonites]”, 1959-1961 © Armelle Dłubak.
Fondation Henri Cartier-Bresson, exposition “Zbigniew Dlubak, héritier des avant-gardes”, de la série “Egzystencje” [Existences], 1959-1966 © Armelle Dłubak / Archeology of Photography Foundation, Varsovie.
Fondation Henri Cartier-Bresson, exposition “Zbigniew Dlubak, héritier des avant-gardes”, de la série “Egzystencje” [Existences], 1959-1966 © Armelle Dłubak / Archeology of Photography Foundation, Varsovie.
Musée d’Orsay

Musée d’Orsay, 1, Rue de la Légion d’Honneur, 75007 Paris
Tél. 01 40 49 48 14
www.musee-orsay.fr
Ouvert du mardi au dimanche de 9h30 à 18h.
Nocturne le jeudi jusqu’à 21h45 (dernier accès à 21h).
www.musee-orsay.fr/fr/visite/adhesion/formules-et-tarifs.html

 

Abonnements Carte blanche (1 an) :
-Carte blanche Solo : 49€
-Carte blanche Duo : 76€
-Carte blanche aux jeunes Solo (18-35 ans) : 25€
-Carte blanche aux jeunes Duo (18-35 ans) : 40€
 

A voir actuellement et prochainement :

-“Degas Danse Dessin. Hommage à Degas avec Paul Valéry”,
jusqu’au 25 février
-“Âmes sauvages. Le symbolisme dans les pays baltes”,
du 10 avril au 15 juillet
-“En couleurs, la sculpture polychrome en France 1850-1910”,
du 12 juin au 16 septembre

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Musée d’Orsay, exposition “Âmes sauvages. Le symbolisme dans les pays baltes”. Mikalojus Konstantinas Čiurlionis (1875-1911), “La Création du monde III”, 1905-06, tempera sur papier, Kaunas, Musée national des Beaux-Arts M. K. © Photo courtoisie du Musée d’art d’Estonie Čiurlionis.
Musée d’Orsay, exposition “Âmes sauvages. Le symbolisme dans les pays baltes”. Konrad Mägi (1878-1925, Estonie), “Paysage de Norvège au pin”, 1908-1910, huile sur toile, 58,5 x 75,2 cm, Tallinn, Musée d’art d’Estonie (EKM M 1986) Photo courtoisie du Musée d’art d’Estonie.
Musée d’Orsay, exposition “Âmes sauvages. Le symbolisme dans les pays baltes”. Nikolai Triik (1884-1940, Estonie), “Lennuk, le bateau de Kalevipoeg”, 1910, tempera et craie sur papier, 72 x 135,3 cm, Tallinn, Musée d’art d’Estonie (EKM M 3438) Photo courtoisie du Musée d’art d’Estonie.
Musée d’Orsay, exposition “Âmes sauvages. Le symbolisme dans les pays baltes”. Aleksandrs Romans (1878-1911, Lettonie), “Paysage au cavalier”, 1910, huile sur toile, 85 x 105,5 cm Riga, musée national des Beaux-Arts de Lettonie © Photo Normunds Brasliņš.
Musée d’Orsay, exposition “Degas Danse Dessin”. Edgar Degas (1834-1917), “Portrait de Giulia Bellelli”, entre 1858 et 1869, crayon noir, lavis gris, papier crème, rehauts de blanc et essence. Paris, musée d’Orsay, RF 11689 (dépôt AG Louvre) © Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais. Service Presse/Musée d’Orsay.
Musée d’Orsay, exposition “Degas Danse Dessin”. Edgar Degas (1834-1917), “Danseuse nue”, vers 1896, pastel sur papier vélin fin, collé en plein sur carton, 57,5 x 46,9 cm. Paris, musée d’Orsay, RF 2013 20 © Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt. Service Presse/Musée d’Orsay.
Musée d’Orsay, exposition “Degas Danse Dessin”. Edgar Degas (1834-1917), “Danseuse au bouquet, saluant sur la scène”, 1878, pastel sur papier marouflé sur toile, 72 x 77,5 cm. Paris, musée d’Orsay, RF 4039 © Musée d’Orsay Dist. RMN- Grand Palais / Patrice Schmidt. Service Presse/Musée d’Orsay.
Musée d’Orsay, exposition “Degas Danse Dessin”. Edgar Degas (1834-1917), “Danseuses” dit aussi “Groupe de danseuses”, vers 1884-1885. Paris, musée d’Orsay © Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt. Service Presse/Musée d’Orsay.
Musée d’Orsay, exposition “Degas Danse Dessin”. Edgar Degas (1834-1917), “Jeune danseuse agenouillée étendant un bras droit vers la gauche”, fusain sur papier beige, 49,5 x 64,2 cm. Paris, musée d’Orsay, RF 23241 (dépôt AG Louvre) © Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais. Service Presse/Musée d’Orsay.
Musée d’Orsay, exposition “Degas Danse Dessin”. Edgar Degas (1834-1917), “Danseuses montant un escalier, entre 1886 et 1890, huile sur toile, 39 x 89.5 cm. Paris, musée d’Orsay, RF 1979 © RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Stéphane Maréchalle. Service Presse/Musée d’Orsay.
Musée d’Orsay, exposition “Âmes sauvages. Le symbolisme dans les pays baltes”. Ferdinandas Ruščicas (1870-1936), “Nec Mergitur”, 1904-1905, huile sur toile, Vilnius, musée national des Beaux-Arts © Droits réservés.
Musée d’Orsay, exposition “Degas Danse Dessin”. Edgar Degas (1834-1917), “Danseuse se grattant le dos”, entre 1873 et 1876, pierre noire et rehauts de blanc sur papier bistre, 45 x 30 cm. Paris, musée d’Orsay, RF 4645 (dépôt AG Louvre) © Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais. Service Presse/Musée d’Orsay.
Musée Picasso

5, Rue de Thorigny, 75003 Paris,
Tél. 01 85 56 00 36
www.museepicassoparis.fr
Ouvert du mardi au vendredi de 10h30 à 18h, les samedis, dimanches et jour fériés de 9h30 à 18h 
(dernier accès à 17h15).
www.museepicassoparis.fr/individuels-2/individuels-adhesion-picasso-pass/

 


Abonnements Picasso Pass (1 an) :
(Tarfis Réduits pour les adhérents des partenaires culturels du musée)
-Picasso Pass Jeune (- 26 ans) : 15€
-Picasso Pass Solo : 30€ / TR : 27€
-Picasso Pass Duo : 50€ / TR : 45€
-Picasso Pass Famille : 70€ / TR : 58€

 

A voir prochainement :

-“Guernica”, du 27 mars au 29 juillet

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Musée Picasso, exposition “Guernica”. Pablo Picasso, “Corrida : la mort du toréro”, 19 septembre 1933, huile sur bois, 31 x 40 cm. Musée national Picasso-Paris, MP145 ©RMN-Grand Palais / Mathieu Rabeau ©Succession Picasso 2018.
Musée Picasso, exposition “Guernica”. Pablo Picasso, “Portrait de Dora Maar”, Paris, 1937, huile sur toile, 92 x 65cm. Musée national Picasso- Paris, MP158 ©RMN-Grand Palais / Mathieu Rabeau ©Succession Picasso 2018.
Musée Picasso, exposition “Guernica”. Dora Maar, “Huile sur toile “Guernica” en cours d’exécution”, état VII, atelier des Grands-Augustins, Paris, en mai-juin 1937, Paris, 1937, épreuve gélatino-argentique, 24 x 30,4 cm. Musée national Picasso-Paris, don Succession Picasso, 1992, APPH1370 ©RMN-Grand Palais / Mathieu Rabeau ©Succession Picasso 2018.
Musée Picasso, exposition “Guernica”. Invitation à l’exposition “Picasso’s Guernica” (New Burlington Galleries, London, 4 - 29 octobre 1938), octobre 1938, 21 x 13,5 cm. Musée national Picasso-Paris, 515AP/H/21/15 © RMN-Grand Palais / image RMN-GP ©Sucession Picasso 2018.
Musée Picasso, exposition “Guernica”. Anonyme, Adhésion association France Espagne, impression sur papier, 30,1 x 21,9 cm. Musée national Picasso-Paris, Archives privées, 515AP/H/21/20 ©RMN-Grand Palais / Mathieu Rabeau ©Succession Picasso 2018.
Musée Picasso : vue intérieure du musée © Fabien Campoverde.
Musée Picasso, exposition “Guernica”. Dora Maar, “Picasso accroupi travaillant à Guernica”, Paris, 1937, épreuve gélatino-argentique, 20,7 x 20,2 cm. Musée national Picasso-Paris, MP1998-282 © RMN-Grand Palais / Franck Raux ©Sucession Picasso 2018.
Musée Picasso : vue extérieure du musée © Fabien Campoverde.
Musée Picasso, exposition “Guernica”. Pablo Picasso, ”Femme à la bougie, combat entre le taureau et le cheval”, Boisgeloup, 24 Juillet 1934, crayon brun, plume et encre de Chine sur toile préparée contrecollée sur contreplaqué, 31,5 x 40,5 cm. Musée national Picasso-Paris, MP1136 © RMN-Grand Palais / Sylvie Chan-Liat ©Succession Picasso 2018.
Musée du Quai Branly

37, Quai Branly, 75007 Paris,
Tél. 01 56 61 71 72
www.quaibranly.fr
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 19h.
Nocturnes le jeudi, vendredi et samedi jusqu’à 21h, (dernier accès à 20h).
www.quaibranly.fr/fr/si-vous-etes/adherent/devenez-adherent/

 

Abonnements Pass 1 an :
-Pass Solo : 35€
-Pass Duo : 60€. Valable pour deux (l’adhérent et un invité de son choix).
-Pass Jeune (18-25 ans) : 15€. Valable pour deux (l’adhérent et un invité de son choix).
 

A voir actuellement et prochainement :

-“Le Pérou avant les Incas”, jusqu’au 1er avril
-“Peintures des lointains”, jusqu’au 6 janvier 2019
-“Enfers et fantômes d’Asie”, du 10 avril au 15 juin
-“Le Magasin des petits explorateurs”, du 22 mai au 7 octobre

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Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Affiche du film “Phi ta bo”, le fantôme aveugle Affiche de film d’horreur thaï de 1981. Artiste anonyme, imprimé en Thaïlande par The Siam Offset Co. Ltd.© musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Estampe, diptyque, “Le fantôme d’Asakura Togo”, d’Utagawa Kuniyoshi © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Estampe, diptyque, “Le fantôme d’Asakura Togo”, d’Utagawa Kuniyoshi © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Estampes, diptyque, “Le fantôme de Kamata Matahachi” d’Utagawa Kunisada © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Masque de Nô © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Sandrine Expilly.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Masque du Dixi : Pang De © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Masque du Dixi : Su Baotong © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Patrick Gries.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Masque du théâtre Nuo : Kaishan, celui qui ouvre la montagne © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Patrick Gries.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Masque et costume de génie tutélaire. Masque en relief avec décor de flammes et de rinceaux. © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Peinture de fantôme (yurei), Maruyama Okyo (1733 - 1795), datée 1793 © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Peinture du fantôme d’Oiwa, signée Ikkyo © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Peinture des lointains”. “Café maure près d’Alger” © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Peinture des lointains”. “Deux indiens en pirogue” © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Enguerran Ouvray.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Peinture des lointains”. “Duco Sangharé – Peuhl” © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Peinture des lointains”. “La Fête arabe dans la campagne de Tlemcen” © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Peinture des lointains”. “Le cirque de Cilaos” © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Peinture des lointains”. “Portrait d’un bourgeois malgache” © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Peinture des lointains”. “Portrait de l’explorateur Emile Gentil (1866 – 1914)” © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Peinture des lointains”. “Portrait de Savorgnan de Brazza” © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Peinture des lointains”. “Sa majesté Sisowath Monivong” © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Peinture des lointains”. “Savorgnan de Brazza en tenue de brousse” © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Le Pérou avant les Incas”. Boucle d’oreille représentant un sacrificateur tenant une tête coupée. Double copyright © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Eduardo Hirose Mio © Lima, San José de Moro Archeaological Program – PUCP, Ministère de la Culture du Pérou.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Le Pérou avant les Incas”. Bouteille à anse-goulot en étrier représentant un prêtre aveugle en prière, le visage scarifié d’oiseaux, de poissons, de reptiles ainsi que d’un pénis et d’un vagin. Double copyright © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Eduardo Hirose Mio © Trujillo, Proyecto Huaca de la Luna - Museo Huacas del Valle de Moche, Universidad Nacional de Trujillo, Ministère de la culture du Pérou.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Le Pérou avant les Incas”. Bouteille à anse-goulot en étrier représentant la divinité hibou. Double copyright © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Eduardo Hirose Mio © Trujillo, Museo de Arqueologia, Antropología e Historia, Universidad Nacional de Trujillo.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Le Pérou avant les Incas”. Bouteille zoomorphe à anse-goulot en étrier: bivalve © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Le Pérou avant les Incas”. Coiffe à plumes en forme d’aigle de mer. Double copyright © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Eduardo Hirose Mio © Lima, San José de Moro Archeaological Program – PUCP, Ministère de la Culture du Pérou.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Le Pérou avant les Incas”. Démon-crabe pêcheur pêchant une raie © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Le Pérou avant les Incas”. Diadème avec décoration en forme de visage à la base. Double copyright © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Eduardo Hirose Mio © Lambayeque, Museo Tumbas Reales de Sipán – archivo, Ministère de la Culture du Pérou.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Le Pérou avant les Incas”. Grelot représentant la divinité moche. Double copyright © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Eduardo Hirose Mio © Lambayeque, Museo Tumbas Reales de Sipán – Archivo, Ministère de la Culture du Pérou.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Le Pérou avant les Incas”. Personnage avec masse rabattue. Double copyright © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Eduardo Hirose Mio © Lambayeque, Museo Tumbas Reales de Sipán – archivo, Ministère de la Culture du Pérou
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Le Pérou avant les Incas”. Vase décoré de visages et de coiffes en relief. Double copyright © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Eduardo Hirose Mio © Lima, San José de Moro Archeaological Program – PUCP, Ministère de la Culture du Pérou.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Figure d’ombres : fantôme © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Masque de kappa © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Masque de Nô © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, exposition “Enfers et fantômes d’Asie”. Affiche du film “Le revenant” (Phi pop), Affiche du film "Phi pop" de 1991. Imprimé par MP production.© musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain.
Musée Rodin

77, Rue de Varenne, 75007 Paris,
Tél. 01 44 18 61 10
www.musee-rodin.fr
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 17h45
(dernier accès à 17h15).
www.amisderodin.fr

 

Amis du Musée Rodin :
-Adhérent individuel : 50€
-Adhérent couple : 85€

 

A voir actuellement et prochainement :

-“Hommage à Octave Mirbeau”, jusqu’au 18 février
-“Rodin et la danse”, du 7 avril au 22 juillet

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Musée Rodin, exposition “Rodin et la danse”. Auguste Rodin, “Mouvement de danse C”, 1911, terre cuite estampée dans un moule à pièces, H. 34,3 cm ; L. 18,1 cm ; P. 11,8 cm © Agence photographique du musée Rodin, P Hisbacq.
Musée Rodin, exposition “Rodin et la danse”. Auguste Rodin, “Nijinski”, 1912, plâtre, H. 20 cm ; L. 10 cm ; P. 6 cm © musée Rodin, ph C Baraja.
Musée Rodin, exposition “Rodin et la danse”. Auguste Rodin, “Mouvement de danse C”, vers 1911, plâtre enduit d’un revêtement, H. 33,8 cm ; L. 19,5 cm ; P. 11,5 cm © musée Rodin, ph C Baraja.
Musée Rodin, exposition “Rodin et la danse”. Auguste Rodin, “Mouvement de danse C”, vers 1911, plâtre enduit d’un revêtement, H. 33,8 cm ; L. 19,5 cm ; P. 11,5 cm © musée Rodin, ph C Baraja.
Musée Rodin, exposition “Rodin et la danse”. Moules, 1911, plâtre enduit d’agent démoulant. © agence photographique du musée Rodin, P Hisbacq.
Musée Rodin, exposition “Rodin et la danse”. Auguste Rodin, “Mercure avec draperie”, plâtre et tissus, H. 38,7 cm ; L. 38 cm ; P. 45 cm © musée Rodin, ph C Baraja.
Musée Rodin, exposition “Rodin et la danse”. Auguste Rodin, “Le Rêve ou Le Baiser de l’ange”, avant 1889, plâtre, H. 22 cm ; L. 37,5 cm ; P. 17,3 cm © musée Rodin, ph C Baraja.
Musée Rodin, exposition “Rodin et la danse”. Auguste Rodin, “Assemblage : Deux mouvements de danse A”, 1911 ou après, plâtre, H. 32 cm ; L. 13,6 cm ; P. 17 cm © agence photographique du musée Rodin, J Manoukian.
Musée Rodin, exposition “Rodin et la danse”. Auguste Rodin, “Assemblage : Deux mouvements de danse A”, 1911 ou après, plâtre, H. 32 cm ; L. 13,6 cm ; P. 17 cm © agence photographique du musée Rodin, J Manoukian.
Institut du Monde arabe

1, Rue des Fossés Saint-Bernard, 75005 Paris,
Tél. 01 40 51 38 38
www.imarabe.org/fr
Ouvert du mardi au vendredi de 10h à 18h,
le dimanche de 10h à 19h.
Nocturnes le jeudi et le samedi jusqu’à 21h.
www.imarabe.org/fr/informations-pratiques/adherer

 

Abonnements (1 an) :
-Tarif individuel : 35 €
-Tarif carte duo : 50 €
-Tarif + 60 ans : 30 €
-Tarif - 26 ans : 12 €

 

A voir actuellement et prochainement :

-“Pour un musée en Palestine” - 2e édition : les nouvelles
donations, du 10 mars au 13 mai
-“Un œil ouvert sur le monde arabe”, du 14 février au 2 septembre
-“L’épopée du canal de Suez – Des pharaons au XXIe siècle”,
du 28 mars au 5 août

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Institut du Monde Arabe, exposition “L’Epopée du Canal de Suez”. Le canal de Suez vu par le satellite Copernicus Sentinel-2A, 2017 © DR.
Institut du Monde Arabe : Vue du musée. © Cateloy.
Institut du Monde Arabe : Vue du musée. © Cateloy.
Institut du Monde Arabe, exposition “L’Epopée du Canal de Suez”. Edouard Riou, “Eugène Cicéri, La Tribune des souverains”, 1870 © Souvenir de Ferdinand de Lesseps et du canal de Suez.
Institut du Monde Arabe, exposition “L’Epopée du Canal de Suez”. Giulio Carlini, “Les Vénitiens présentent leur projet de canal au sultan”, 1869 © Engie.
Institut du Monde Arabe : Vue du musée. © Cateloy.
Institut du Monde Arabe, exposition “L’Epopée du Canal de Suez”. “Gamal Abdel Nasser accueilli par la foule au Caire après la nationalisation du canal”, 1 août 1956 © DR.
Institut du Monde Arabe, exposition “L’Epopée du Canal de Suez”. “Traitement des eaux à Ismaïlia”, vers 1930 © Souvenir de Ferdinand de Lesseps et du canal de Suez.
Institut du Monde Arabe, exposition “L’Epopée du Canal de Suez”. “Bâtiment à Port-Saïd”, vers 1930 © Souvenir de Ferdinand de Lesseps et du canal de Suez.
Institut du Monde Arabe, exposition “L’Epopée du Canal de Suez”. “Bureau de la Compagnie du Canal de Suez à Port-Saïd”, vers 1930 © Souvenir de Ferdinand de Lesseps et du canal de Suez.
Institut du Monde Arabe, exposition “L’Epopée du Canal de Suez”.“Portrait de Ferdinand de Lesseps”, XIXe siècle © Souvenir de Ferdinand de Lesseps et du canal de Suez.
Institut du Monde Arabe, exposition “L’Epopée du Canal de Suez”. A. Chauveau, “Portrait de Ferdinand de Lesseps d’après Foureau”, 1853 © Souvenir de Ferdinand de Lesseps et du canal de Suez.
Institut du Monde Arabe, exposition “L’Epopée du Canal de Suez”. “Portrait de l’Impératrice Eugénie”, XIXe siècle © Souvenir de Ferdinand de Lesseps et du canal de Suez.
Institut du Monde Arabe, exposition “L’Epopée du Canal de Suez”. “L’Aigle”, vers 1869 © Souvenir de Ferdinand de Lesseps et du canal de Suez.
Institut du Monde Arabe, exposition “L’Epopée du Canal de Suez”. Théodore Frère, “Promenade de l’Impératrice Eugénie en chameau dans le désert”, 1869 © Souvenir de Ferdinand de Lesseps et du canal de Suez.
Institut du Monde Arabe, exposition “L’Epopée du Canal de Suez”. Edouard Riou, “Cérémonie d’inauguration du canal de Suez à Port-Saïd”, le 17 novembre 1869 ©RMN- Grand Palais (domaine de Compiègne)/Daniel Arnaudet.
Musée Jacquemart-André

158, Boulevard Haussmann, 75008 Paris,
Tél. 01 45 62 11 59
www.musee-jacquemart-andre.com/fr
Ouvert tous les jours y compris les jours fériés de 10h à 18h.
Nocturne le lundi jusqu’à 20h30 en période d’exposition.
www.musee-jacquemart-andre.com/fr/preparer-sa-visite/carte-privilege

 

Abonnements Carte Privilège (1 an) :
-Carte Solo : 32€
-Carte Duo : 60€
-Carte Jeune (-26 ans) : 20€
 

A voir prochainement :

-Mary Cassatt : “Une impressionniste américaine à Paris”,
du 9 mars au 23 juillet

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Musée Jacquemart-André, exposition “Mary Cassatt : une impressionniste américaine à Paris”. “Petite fille dans un fauteuil bleu”, vers 1877-1878, huile sur toile, 89,5 x 129,8 cm, Inv. 1983.1.18, National Gallery of Art, Washington, Collection of Mr. And Mrs. Paul Mellon © Courtesy National Gallery of Art, Washington.
Musée Jacquemart-André, exposition “Mary Cassatt : une impressionniste américaine à Paris”. “Bébé dans les bras de sa mère”, vers 1890-1891, huile sur toile, 63,5 x 50,17 cm, Inv. 2003.15, Pennsylvania Academy of the Fine Arts, Philadelphia © Courtesy of the Pennsylvania Academy of the Fine Arts, Philadelphia. Bequest of Peter Borie.
Musée Jacquemart-André, exposition “Mary Cassatt : une impressionniste américaine à Paris”. “Eté”, vers 1894-1895, huile sur toile, 100,6 x 81,3 cm, Inv. 1988.25, Terra Foundation for American Art, Daniel J. Terra Collection, © Terra Foundation for American Art, Chicago.
Musée Jacquemart-André : Façade sur cour © Culturespaces / S. Lloyd.
Musée Jacquemart-André, exposition “Mary Cassatt : une impressionniste américaine à Paris”. “Jeunes femmes cueillant des fruits”, 1892, huile sur toile, 130,8 x 90,2 cm, Inv. 22.8, Carnegie Museum of Art, Patrons Art Fund, Pittsburgh © Carnegie Museum of Art, Pittsburgh; Patrons Art Fund.
Musée Jacquemart-André, exposition “Mary Cassatt : une impressionniste américaine à Paris”. “Portrait de Mademoiselle Louise-Aurore Villeboeuf”, 1901, pastel sur papier beige, 72,7 x 60 cm, Inv. RF 36822, musée d’Orsay, Paris, don de Mlle Louise-Aurore Villeboeuf, 1978 © RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski.
Musée Jacquemart-André, exposition “Mary Cassatt : une impressionniste américaine à Paris”. “Bébé dans un costume bleu, regardant par dessus l‘épaule de sa mère”, vers 1883-1885, huile sur toile, 72,87 x 59,85 cm, Inv. CAM 1928.222, Cincinnati Art Museum, John J. Emery Fund © Cincinnati Art Museum.
Musée Jacquemart-André, exposition “Mary Cassatt : une impressionniste américaine à Paris”. “La musique”, 1874, huile sur toile, 98,2 x 68,7 cm, Inv. PPP3737, Paris, Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris © RMN-Grand Palais / Agence Bulloz.
Musée Jacquemart-André, exposition “Mary Cassatt : une impressionniste américaine à Paris”. “Femme assise avec un enfant dans les bras”, 1889-1890, huile sur toile, 81 x 65,5 cm, Inv. 82/25, Museo de Bellas Artes de Bilbao © Bilboko Arte Ederren / Museoa-Museo de Bellas Artes de Bilbao.
Musée Jacquemart-André, exposition “Mary Cassatt : une impressionniste américaine à Paris”. “Le Repas des canards”, vers 1895, pointe sèche, vernis mou, aquatinte en couleurs et rehauts d’aquarelle , 29,9 x 40 cm, Inv. EM CASSATT 13, Paris, Institut national d’histoire de l’art, Bibliothèque, collections Jacques Doucet © Bibliothèque de l’Institut national d’histoire de l’art.
Musée Jacquemart-André, exposition “Mary Cassatt : une impressionniste américaine à Paris”. “Mère en robe rose tenant son bébé nu”, vers 1914, huile sur toile, 83 x 66,5 cm, collection privée suisse © Bailly Gallery, Genève.
Musée Jacquemart-André, exposition “Mary Cassatt : une impressionniste américaine à Paris”. “Dans la loge”, vers 1877-1878, huile sur toile, 81,28 x 66,04 cm, Inv. 10.35, Boston, Museum of Fine Arts, The Hayden Collection - Charles Henry Hayden Fund © 2018 Museum of Fine Arts, Boston.
Musée Jacquemart-André, exposition “Mary Cassatt : une impressionniste américaine à Paris”. “La Tasse de thé”, vers 1880-1881, huile sur toile, 92,4 x 65,4 cm, Inv. 22.16.1, New York, The Metropolitan Museum of Art, From the Collection of James Stillman, Gift of Dr. Ernest G. Stillman, 1922 © Dist. RMN-Grand Palais / image of the MMA.
Musée Jacquemart-André, exposition “Mary Cassatt : une impressionniste américaine à Paris”. “Alexander J. Cassatt et son fils Robert Kelso”, 1884-1885, huile sur toile, 100,3 x 81,3 cm, Inv. W1959-1-1 © Philadelphia Museum of Art: Purchased with the W. P. Wilstach Fund and with funds contributed by Mrs. William Coxe Wright, 1959.
Musée Jacquemart-André, exposition “Mary Cassatt : une impressionniste américaine à Paris”. “La Toilette”, 1890-1891, pointe sèche et aquatinte, 36,5 x 27 cm, collection particulère © Courtesy Marc Rosen Fine Art and Adelson Galleries, New York.
Musée Marmottan-Monet

2, rue Louis Boilly, 75016 Paris,
Tél. 01 44 96 50 33
www.marmottan.fr
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h.
Nocturne le jeudi jusqu’à 21h.
www.marmottan.fr/fr/L_association_des_amis_du_musée-musee-2496

 

Amis du Musée :
-Ami individuel : 60€
-Couple : 80€
-Membre bienfaiteur : 200€
-Couple de bienfaiteurs : 300€
-Membre d’honneur : à partir de 500€

 

A voir actuellement :

-“Corot. Le peintre et ses modèles”, jusqu’au 8 juillet

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Musée Marmottan-Monet, exposition “Jean-Baptiste Camille Corot, le peintre et ses modèles”. La “Femme à la perle”, vers 1868-1870, huile sur toile, 70 x 55 cm. Acquis en vente publique sur les arrérages du legs de Maurice Audéoud, 1912. Paris, musée du Louvre, département des Peintures. Photo © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Stéphane Maréchalle.
Musée Marmottan-Monet : vue des collections permanentes. Copyright Christian Baraja.
Musée Marmottan-Monet : vue des collections permanentes. Copyright Christian Baraja.
Musée Marmottan-Monet : vue des collections permanentes. Copyright Christian Baraja.
Musée Marmottan-Monet : vue des collections permanentes. Copyright Christian Baraja.
Musée Marmottan-Monet, exposition “Jean-Baptiste Camille Corot, le peintre et ses modèles”. Le “Moine au violoncelle”, 1874, huile sur toile, 72, 5 x 51 cm. Hambourg, Hamburger Kunsthalle © Hamburger Kunsthalle / bpk. Foto: Elke Walford.
Musée Marmottan-Monet, exposition “Jean-Baptiste Camille Corot, le peintre et ses modèles”. “L’Italienne” ou “Femme au manchon jaune”, Vers 1870, huile sur toile, 73 x 59 cm. Accepted in lieu of Inheritance Tax by HM Government from the estate of Lucian Freud and allocated to the National Gallery, 2012 © The National Gallery, London.
Musée Marmottan-Monet, exposition “Jean-Baptiste Camille Corot, le peintre et ses modèles”. La “Lecture interrompue”, vers 1870, huile sur toile montée sur panneau, 92, 5 x 65, 1 cm. Chicago, Art Institute of Chicago, collection Potter Palmer. The Art Institute of Chicago, Potter Palmer Collection, 1922.410 © Chicago, The Art Institute of Chicago.
Musée Marmottan-Monet, exposition “Jean-Baptiste Camille Corot, le peintre et ses modèles”. “Zingara au tambour basque”, vers 1865-1870, huile sur toile, 55 x 38 cm. Donation de Jacques Laroche sous réserve d’usufruit, 1946 ; entré au musée du Louvre en 1976. Paris, musée du Louvre, département des Peintures. Photo © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) /  René-Gabriel Ojéda.
Musée Marmottan-Monet, exposition “Jean-Baptiste Camille Corot, le peintre et ses modèles”. “Haydée. Jeune femme en costume grec”, vers 1870-1872, huile sur toile, 60 x 44 cm. Donation de la baronne Eva Gebhard-Gourgaud, 1965. Paris, musée du Louvre, département des Peintures. Photo © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Franck Raux.
Musée Marmottan-Monet, exposition “Jean-Baptiste Camille Corot, le peintre et ses modèles”. La “Jeune Grecque”, vers 1868-1870, huile sur toile, 84, 2 x 55, 2 cm. Shelburne (Vermont), Shelburne Museum © Shelburne Museum.
Musée Marmottan-Monet, exposition “Jean-Baptiste Camille Corot, le peintre et ses modèles”. “Jeune Fille grecque à la fontaine”, vers 1865-1870, huile sur toile, 55 x 39 cm. Legs James N.B. Hill, 1978. Paris, musée du Louvre, département des Peintures. Photo © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Daniel Arnaudet.
Musée Marmottan-Monet, exposition “Jean-Baptiste Camille Corot, le peintre et ses modèles”. “Jeune femme assise des fleurs entre les mains” ou “Madame Legois”, vers 1842, huile sur toile, 55 x 40 cm. Vienne, Österreichische Galerie Belvedere. Inv. 2413 © Belvedere, Vienne
Musée Marmottan-Monet, exposition “Jean-Baptiste Camille Corot, le peintre et ses modèles”. “La blonde Gasconne”, vers 1850, huile sur toile, 40 x 30, 2 cm. Acquisition réalisée avec le Drayton Hillyer Fund. Northampton, Massachusetts, Smith College Museum of Art. Purchased with the Drayton Hillyer Fund, Smith College Museum of Art, Northampton, Massachusetts.
Musée Marmottan-Monet, exposition “Jean-Baptiste Camille Corot, le peintre et ses modèles”. “La Moissonneuse tenant sa faucille, la tête appuyée sur la main”, 1838, huile sur toile, 35, 3 x 27 cm. Legs de William A. Coolidge, 1993.36 Boston, Boston Museum of Fine Arts. Photograph © 2018 Museum of Fine Arts, Boston.
Musée Marmottan-Monet, exposition “Jean-Baptiste Camille Corot, le peintre et ses modèles”. “Jeune Italien assis”, vers 1825, huile sur papier marouflé sur toile, 23, 5 x 29, 3 cm. Reims, musée des Beaux-Arts de la Ville de Reims © Photo : C. Devleeschauwer.
Musée Marmottan-Monet, exposition “Jean-Baptiste Camille Corot, le peintre et ses modèles”. “Marietta ou L’Odalisque romaine”, 1843, huile sur papier marouflé sur toile. Paris, Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris © Petit Palais / Roger-Viollet.
Musée Marmottan-Monet : vue des collections permanentes. Copyright Christian Baraja.
Musée de l’Orangerie

Musée de l’Orangerie, Jardin desTuileries, 75001 Paris,
Tél. 01 44 50 43 00
www.musee-orangerie.fr/fr
Ouvert du mercredi au lundi de 9h à 18h.
www.musee-orsay.fr/fr/visite/adhesion/formules-et-tarifs.html

 

Abonnements Carte blanche (1 an) :
-Carte blanche Solo : 49€
-Carte blanche Duo : 76€
-Carte blanche aux jeunes Solo (18-35 ans) : 25€
-Carte blanche aux jeunes Duo (18-35 ans) : 40€

 

A voir actuellement et prochainement :

-“Dada Africa, sources et influences extra-occidentales”, jusqu’au 19 février
-“Nymphéas. L’abstraction américaine et le dernier Monet”,
du 13 avril au 20 août

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Musée de l’Orangerie, exposition “Dada Africa. Sources et influences extra-occidentales”. Sophie Taeuber-Arp (1889-1943), “Motifs abstraits (masques)”, 1917, gouache sur papier, 34 x 24 cm. Remagen-Rolandswerth/Berlin, Stiftung Arp e.V. © Stiftung Arp e.V., Berlin / Rolandswerth. Wolfgang Morell.
Musée de l’Orangerie, exposition “Nymphéas. L’abstraction américaine et le dernier Monet”. Sam Francis (1923-1994), “Round the world”, 1958-1959, huile sur toile, 276.5 x 321.5 cm. Fondation Beyeler, Riehen/Basel, Beyeler Collection Photo © Fondation Beyeler / Peter Schibli © 2018 / Sam Francis Foundation, California / Adagp, Paris. Service Presse/Musée de l’Orangerie.
Musée de l’Orangerie, exposition “Nymphéas. L’abstraction américaine et le dernier Monet”. Joan Mitchell (1925-1992), “Sans titre”, 1964, huile sur toile, 159 x 125 cm. Paris, Centre Pompidou, Musée national d’art moderne-Centre de création industrielle, en dépôt au musée d’art, d’histoire et d’archéologie d’Evreux Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Jacques Faujour © Estate Joan Mitchell. Service Presse/Musée de l’Orangerie.
Musée de l’Orangerie, exposition “Nymphéas. L’abstraction américaine et le dernier Monet”. Ellsworth Kelly (1923-2015), “Tableau Vert”, 1952, huile sur bois, 74.3 x 99.7 cm. The Art Institute of Chicago. Gift of the artist, 2009 Artwork: © Ellsworth Kelly Foundation Image: courtesy Art Institute of Chicago. Service Presse/Musée de l’Orangerie.
Musée de l’Orangerie, exposition “Nymphéas. L’abstraction américaine et le dernier Monet”. Claude Monet (1840-1926), “Nymphéas bleus”, 1916-1919, huile sur toile, 204 x 200 cm. Paris, musée d’Orsay © Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt. Service Presse/Musée de l’Orangerie.
Musée de l’Orangerie, exposition “Dada Africa. Sources et influences extra-occidentales”. Sophie Taeuber-Arp (1889 – 1943), “Composition verticale-horizontale”, 1918, tapisserie de laine, 81 x 117 x 0,3 cm. Remagen, Arp Museum Bahnhof Rolandseck © Arp Museum Bahnhof Rolandseck / Photo Mick Vincenz.
Musée de l’Orangerie, exposition “Dada Africa. Sources et influences extra-occidentales”. Artiste inconnu, Boîte, style azande, nord de la région Congo, 2nde moitié du XIXe, début du XXe siècle, bois, écorce, raphia, H. 46 cm. Museum Rietberg, Zürich, don du Kunstgewerbemuseum Zürich © Museum Rietberg, Zürich / Photo Rainer Wolfsberger.
Musée de l’Orangerie, exposition “Dada Africa. Sources et influences extra-occidentales”. Sophie Taeuber-Arp (1889 – 1943), “Poudrier”, vers 1918-1920, bois, 29,8 × 16,5 × 16,5 cm. Aarau, Aargauer Kunsthaus, dépôt d’une collection particulière © Aargauer Kunsthaus Aarau / Photo Peter Schälchli.
Musée de l’Orangerie, exposition “Dada Africa. Sources et influences extra-occidentales”. Hannah Höch (1889-1978), “Aus der Sammlung: Aus einem Ethnographischen Museum Nr. IX.”, 1929, collage et aquarelle sur papier marouflé, 27,6 x 19 cm. Paris, Galerie Natalie Seroussi © Galerie Natalie Seroussi © Adagp, Paris 2017.
Musée de l’Orangerie, exposition “Dada Africa. Sources et influences extra-occidentales”. Cambodge, Artiste inconnu, “Torse de la déesse Uma”, Empire khmer, fin du IXe ou début du Xe siècle Grès, 123 × 39 × 26 cm. Museum Rietberg, Zürich, don d’Eduard von der Heydt © Museum Rietberg, Zürich / Photo Rainer Wolfsberger.
Musée de l’Orangerie, exposition “Dada Africa. Sources et influences extra-occidentales”. Artiste inconnu, “Statuette magique nkisi nkondi”, Vili, Loango, avant 1892, bois, alliages ferreux, alliages cuivreux, verre, textile, fibres végétales, pigments, résine, matières organiques, 63,5 × 38 × 34 cm. Paris, musée du Quai Branly-Jacques Chirac, don de Joseph Cholet © musée du quai Branly ‒ Jacques Chirac, Dist. RMN-Grand Palais / Thierry Ollivier.
Musée de l’Orangerie, exposition “Dada Africa. Sources et influences extra-occidentales”. Tristan Tzara (1896-1963), Chanson du Cacadou de la tribu Ananda, paru dans la revue Dada 1 en juillet 1917, vers 1917, texte dactylographié et dessins, encre sur papier, 27 x 21,5 cm. Chancellerie des Universités de Paris ‒ Bibliothèque littéraire Jacques Doucet, Paris, fonds Tristan Tzara. © Chancellerie des Universités de Paris ‒ Bibliothèque littéraire Jacques Doucet. Photo : Suzanne Nagy / Christophe Tzara.
Musée de l’Orangerie, exposition “Dada Africa. Sources et influences extra-occidentales”. Artiste inconnu, “Poupée katsina”, Pueblo, Arizona, XXe siècle, bois peint, plumes, 26,5 × 8,8 × 5,7 cm. Paris, musée du quai Branly-Jacques Chirac, don de Guy Arnoult © musée du quai Branly ‒ Jacques Chirac, Dist. RMN-Grand Palais / image musée du quai Branly ‒ Jacques Chirac.
Musée de l’Orangerie, exposition “Dada Africa. Sources et influences extra-occidentales”. “Masque grotesque à l’expression malicieuse”, Suisse, Lötschental, première moitié du XXe siècle, bois peint, fourrure, dents d’animal, 40 x 25 x 17 cm. Museum Rietberg, Zürich, don d’Eduard von der Heydt © Museum Rietberg, Zürich / Photo Rainer Wolfsberger.
Musée de l’Orangerie, exposition “Dada Africa. Sources et influences extra-occidentales”. Photographe inconnu, “Sophie Taeuber et sa sœur Erika Schlegel en costumes Hopi créés par Sophie Taeuber”, vers 1925, photographie tirage moderne, 13 x 10 cm. Remagen-Rolandswerth/Berlin, Stiftung Arp e.V. © Stiftung Arp e.V., Berlin / Rolandswerth.
Musée de l’Orangerie, exposition “Dada Africa. Sources et influences extra-occidentales”. Sophie Taeuber-Arp (1889-1943), Projet de costume (n° 60) de style Katsina, 1925, gouache et crayon de couleur sur papier, 34,9 x 50 cm. Remagen, Arp Museum Bahnhof Rolandseck © Arp Museum Bahnhof Rolandseck / Photo Mick Vincenz.
Musée de l’Orangerie, exposition “Dada Africa. Sources et influences extra-occidentales”. Photographe inconnu, “Sophie Taeuber-Arp dansant”, Zurich, 1917, photographie, tirage moderne, 11 x 7 cm Remagen-Rolandswerth/Berlin, Stiftung Arp e.V. © Stiftung Arp e.V., Berlin / Rolandswerth.
Musée de l’Orangerie, exposition “Nymphéas. L’abstraction américaine et le dernier Monet”. Ellsworth Kelly (1923-2015), “Water Lily (1)”, 1968, encre sur papier, 61 x 48.3 cm. Collection Ellsworth Kelly Studio Artwork: © Ellsworth Kelly Foundation Image: Tim Nighswander. Service Presse/Musée de l’Orangerie.
Musée de l’Orangerie, exposition “Nymphéas. L’abstraction américaine et le dernier Monet”. Claude Monet (1840-1926), “Le saule pleureur”, 1920-1922, huile sur toile, 100 x 100 cm. Paris, musée d’Orsay © Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Michèle Bellot. Service Presse/Musée de l’Orangerie.
Musée du Luxembourg

19, rue de Vaugirard, 75006 Paris,
Tél. 01 40 13 62 00
www.museeduluxembourg.fr
Ouvert du lundi au jeudi de 10h30 à 18h,
du vendredi au dimanche de 10h30 à 19h.
www.grandpalais.fr/fr/formules-et-tarifs

 

Abonnements Pass Sésame (1 an):

Sésame+, les pass-expos du Grand Palais et du Musée du Luxembourg
Sésame+ Solo : 75€
Sésame+ Duo : 130€
 
Sésame Jeune, les pass-expos des jeunes de 30 ans et moins
Sésame 16-17 ans : Gratuit sur Internet
Sésame Jeune : 25€
Sésame+ Jeune : 35€
 

A voir prochainement :

-Tintoret : “Naissance d’un génie”, du 7 mars au 1er juillet

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Musée du Luxembourg, exposition “Tintoret. Naissance d’un génie.”. “Portrait d’homme (Lorenzo Soranzo?)”, 1547, huile sur toile, 63 x 51 cm. Nantes, musée d’Arts © RMN-Grand Palais / Gérard Blot.
Musée du Luxembourg, exposition “Tintoret. Naissance d’un génie.”. “Caïn et Abel”, 1538-1539, huile sur bois, 31 x 78.5 cm. Budapest, Szépművészeti Múzeum © Szepmuveszeti Museum / Museum of Fine Arts Budapest, 2018.
Musée du Luxembourg : vue extérieure. © G. Butet / Senat.
Musée du Luxembourg, exposition “Tintoret. Naissance d’un génie.”. Tintoret et son atelier, “Judith dans la tente d’Holopherne”, vers 1554-1555, huile sur toile, 58 x 119 cm. Madrid, Museo Nacional del Prado © Museo Nacional del Prado, dist. Rmn-GP / image du Prado.
Musée du Luxembourg, exposition “Tintoret. Naissance d’un génie.”. “Le Péché originel”, vers 1551-1552, huile sur toile, 150 x 220 cm. Venise, Gallerie dell’Accademia © Archivio fotogra co Gallerie dell’Accademia, su concessione del Ministero dei beni e delle attivita culturali e del turismo - Museo Nazionale Gallerie dell’Accademia di Venezia, Venise.
Musée du Luxembourg, exposition “Tintoret. Naissance d’un génie.”. “La Princesse, saint Georges et saint Louis”, 1551, huile sur toile, 226 x 146 cm. Venise, Gallerie dell’Accademia © Archivio fotogra co Gallerie dell’Accademia, su concessione del Ministero dei beni e delle attivita culturali e del turismo - Museo Nazionale Gallerie dell’Accademia di Venezia, Venise.
Musée du Luxembourg, exposition “Tintoret. Naissance d’un génie.”. Tintoret et atelier (Giovanni Galizzi), “Le Christ et la femme adultère”, vers 1547-1549, huile sur toile, 118,5 x 168 cm. Rome, Galleria Nazionale d’Arte Antica, Palazzo Barberini © Gallerie Nazionali di Arte Antica di Roma, Palazzo Barberini / photo Mauro Coen, Rome. 
Musée du Luxembourg, exposition “Tintoret. Naissance d’un génie.”. “Jupiter et Sémélé”, 1541-1542, huile sur bois, Modène, Galleria Estense © Su concessione del Ministero dei beni e delle Attivita Culturali e del Turismo - Archivio fotogra co delle Gallerie Estensi - photo Paolo Terzi.
Musée du Luxembourg, exposition “Tintoret. Naissance d’un génie.”. “Autoportrait”, vers 1547, huile sur toile, 45,1 x 38,1 cm. Philadelphie, Philadelphia Museum of Art © Philadelphia Museum of Art.
Musée du Luxembourg, exposition “Tintoret. Naissance d’un génie.”. “La Conversion de saint Paul”, 1538-1539, huile sur toile, 152,4 x 236,2 cm. Washington, National Gallery of Art © National Gallery of Art, Washington. 
Musée du Luxembourg, exposition “Tintoret. Naissance d’un génie.”. “L’Adoration des Mages”, vers 1537-1538, huile sur toile, 174 x 203 cm. Madrid, Museo Nacional del Prado © Museo Nacional del Prado, dist. Rmn-GP / image du Prado.
Musée de la Chasse et de la Nature

62, rue des Archives, 75003 Paris,
Tél. 01 53 01 92 40
www.chassenature.org
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h, dernier accès à 18h30.
Nocturne le mercredi jusqu’à 21h 30 (dernier accès à 21h).
http://www.chassenature.org/amis/

 

Adhésion Amis du Musée :
-Individuel : 60€
-Duo : 80€
-Jeune (- de 26 ans) : 30€
-Duo jeune : 40€

 

A voir prochainement :

-Gérard Garouste : “Diane et Actéon”, du 13 mars au 1er juillet

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Musée de la Chasse et de la Nature : Salon de Compagnie © Sophie Lloyd – musée de la Chasse et de la Nature.
Musée de la Chasse et de la Nature : Cabinet des Chiens © Sophie Lloyd – musée de la Chasse et de la Nature.
Musée de la Chasse et de la Nature : Salle d’armes © Sophie Lloyd – musée de la Chasse et de la Nature.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste, “Actéon émasculé”, 2017, huile sur toile, 195 x 114 cm © Musée de la Chasse et de la Nature, Gérard Garouste / ADAGP, 2018. Cliché : Photo B.Huet-Tutti.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste, “Diane”, 2017, huile sur toile, 195 x 114 cm © Musée de la Chasse et de la Nature, Gérard Garouste / ADAGP, 2018. Cliché : Photo B.Huet-Tutti.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste, “Le cerf compagnon” (Titre à vérifier), 2015, huile sur toile, 41 x 33 x1,7 cm © ADAGP, DR.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste, “Actéon rouge”, 2015, gouache sur papier, 73 x 52 cm © Musée de la Chasse et de la Nature, Gérard Garouste / ADAGP, 2018. Cliché : Photo B.Huet-Tutti.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste, “Actéon rouge”, 2015, gouache sur papier, 73 x 52 cm © Musée de la Chasse et de la Nature, Gérard Garouste / ADAGP, 2018. Cliché : Photo B.Huet-Tutti.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste, “Diane et Actéon”, 2015, acrylique sur toile, 200 x 260 cm © Musée de la Chasse et de la Nature / ADAGP. Cliché : David Bordes.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste, “Diane et Actéon”, 2015, huile sur toile, 160x200 cm © ADAGP, DR.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste, “Etude pour Diane et Actéon”, 2014, gouache sur papier, 56 x 80,5 cm © Musée de la Chasse et de la Nature, Gérard Garouste / ADAGP, 2018. Cliché : Photo B.Huet-Tutti.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste, “Etude de Diane”, 2014, gouache sur papier, 121 x 81 cm © Musée de la Chasse et de la Nature, Gérard Garouste / ADAGP, 2018. Cliché : Photo B.Huet-Tutti.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste : “Etude pour Diane”, 2014, mine de plomb sur papier, 76 x 57 cm © Musée de la Chasse et de la Nature, Gérard Garouste / ADAGP, 2018. Cliché : Photo B.Huet-Tutti.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste, “Etude pour Diane”, 2013, mine de plomb sur papier, 76 x 57 cm © Musée de la Chasse et de la Nature, Gérard Garouste / ADAGP, 2018 Cliché : Photo B.Huet-Tutti.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste, “Actéon et le cône”, 2015, huile sur toile, 100 x 81x 2 cm © Musée de la Chasse et de la Nature, Gérard Garouste / ADAGP, 2018. Cliché : Photo B.Huet-Tutti.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste, “Actéon et ses chiens”, 2014, huile sur toile, 146 x 114 cm © Musée de la Chasse et de la Nature, Gérard Garouste / ADAGP, 2018. Cliché : Photo B.Huet-Tutti.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste, “Etude pour Actéon”, 2014, mine de plomb sur papier, 76 x 57 cm © Musée de la Chasse et de la Nature, Gérard Garouste / ADAGP, 2018. Cliché : Photo B.Huet-Tutti.
Musée de la Chasse et de la Nature, exposition “Gérard Garouste : Diane et Actéon”. Gérard Garouste, “Etude pour Actéon”, 2013, mine de plomb sur papier, 61 x 75 cm © Musée de la Chasse et de la Nature, Gérard Garouste / ADAGP, 2018. Cliché : Photo B.Huet-Tutti.
Cité de l’Architecture et du patrimoine

1, Place du Trocadéro et du 11 Novembre, 75116 Paris
Tél. 01 58 51 52 00
www.citedelarchitecture.fr
Ouvert du mercredi au lundi de 11h à 19h.
Nocturne le jeudi jusqu’à 21h.
www.citedelarchitecture.fr/index.php/fr/informations-pratiques

 

Abonnements Pass de la Cité (1 an):
-Individuel : 30€
-Duo (invitez la personne de votre choix) : 50€
-Jeune (- de 26 ans) : 15€
-Étudiant en art et en architecture : 10€
-Affilié Maison des Artistes : 15€

 

A voir actuellement et prochainement :

-“Globes, architectures & sciences explorent le monde”, jusqu’au 26 mars
-Bas Smets, Bruxelles versus Duncan Lewis,
Bordeaux, jusqu’au 6 mai
-Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : “Une voix singulière
du mouvement moderne”,
du 16 février au 2 juillet
-Alvar Aalto (1898-1976), Architecte et designer finlandais,
du 9 mars au 1er juillet
-“Architecture et pouvoir. Un portail pour la cathédrale de Metz”,
du 28 mars à fin septembre
-“Mai 68. L’architecture aussi !”, du 16 mai au 16 septembre

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Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Alvar Aalto, architecte et designer finlandais”. “Armin Linke”, 2014: Heilig-Geist-Kirche Wolfsburg, Germany, Alvar Aalto, 1960–1963 © Armin Linke, VG Bild-Kunst, Bonn, 2014.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Alvar Aalto, architecte et designer finlandais”. Centre Culturel de Wolfsburg, Germany, Alvar Aalto, 1958–1962 © Alvar Aalto Museum, photo: Leonardo Mosso, VG Bild-Kunst, Bonn, 2014.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Alvar Aalto, architecte et designer finlandais”. “Armin Linke”, 2014: Finish Pavilion, Giardini, Venice Biennale, Italy, Alvar Aalto, 1955 © Armin Linke, 2014 VG Bild-Kunst, Bonn, 2014.
ité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Alvar Aalto, architecte et designer finlandais”. “Armin Linke”, 2014: Villa Mairea, Noormarkku, Finland, Alvar Aalto, 1939 © Armin Linke, VG Bild-Kunst, Bonn 2014.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Alvar Aalto, architecte et designer finlandais”. Pavillon finlandais, World’s Fair, New York, 1939 © Alvar Aalto Museo, Esto Photographics, photo: Ezra Stoller/Esto Photographics Inc., VG Bild- Kunst, Bonn, 2014.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Alvar Aalto, architecte et designer finlandais”. “Armin Linke”, 2014: Viipuri (Vyborg) City Library, Vyborg, Karelia (today Russia), Alvar Aalto, 1927– 1935 © Armin Linke, VG Bild-Kunst, Bonn, 2014.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Alvar Aalto, architecte et designer finlandais”. “Armin Linke”, 2014: Viipuri (Vyborg) City Library, Vyborg, Karelia (today Russia), Alvar Aalto, 1927– 1935 © Armin Linke, VG Bild-Kunst, Bonn 2014.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Alvar Aalto, architecte et designer finlandais”. Viipuri (Vyborg) City Library, Vyborg, Karelia (today Russia), Alvar Aalto, 1927--1935 © Alvar Aalto Museum, photo: Gustaf Welin, VG Bild-Kunst, Bonn, 2014.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Alvar Aalto, architecte et designer finlandais”. “Aalto sur son bateau Nemo Propheta”, 1960s © Schildt Foundation, photo: Göran Schildt.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : Une voix singulière du mouvement moderne”. Vue intérieure d’une chambre au Salon des artistes décorateurs, 1930, cliché Chevojon. ©ENSBA, Cité de l’architecture & du patrimoine / Archives d’architecture du XXe siècle.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : Une voix singulière du mouvement moderne”. Vue du bar depuis le départ de l’escalier du Théâtre des Menus plaisirs, rue Fontaine, Paris 9e,n.d., cliché anonyme ©ENSBA, Cité de l’architecture & du patrimoine / Archives d’architecture du XXe siècle.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : Une voix singulière du mouvement moderne”. Perspective aérienne d’ensemble de la Villa Bagheera à Anglet, n.d.,1927-1929 ©ENSBA, Cité de l’architecture & du patrimoine / Archives d’architecture du XXe siècle.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : Une voix singulière du mouvement moderne”. G.-H. Pingusson, église de Jésus-Ouvrier, Arcueil, élév. de la façade principale, 1938.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : Une voix singulière du mouvement moderne”. Fleury la Nativité de la vierge, nef © Région Grand Est – Inventaire général, Ph. G.André.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : Une voix singulière du mouvement moderne”. Boust Saint-Maximin © Région Grand Est – Inventaire général, Ph. G.Coing.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : Une voix singulière du mouvement moderne”. Mémorial des martyrs de la Déportation (1954-1962), Paris 4e, vue intérieure, n.d. cliché R. Bouwens, Paris ©ENSBA, Cité de l’architecture & du patrimoine / Archives d’architecture du XXe siècle.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : Une voix singulière du mouvement moderne”. Mémorial des martyrs de la Déportation (1954-1962), Paris 4e, vue intérieure avec une femme n.id., n.d. ©ENSBA, Cité de l’architecture & du patrimoine / Archives d’architecture du XXe siècle.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : Une voix singulière du mouvement moderne”. Mémorial des martyrs de la Déportation (1954-1962), Paris 4e, vue de l’escalier sud menant au parvis, n.d. ©ENSBA, Cité de l’architecture & du patrimoine / Archives d’architecture du XXe siècle.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : Une voix singulière du mouvement moderne”. Maison familiale type Jean Prouvé (1946-1947), avec Etienne Ledoux, pers. à vol d’oiseau, n.d. ©ENSBA, Cité de l’architecture & du patrimoine / Archives d’architecture du XXe siècle.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : Une voix singulière du mouvement moderne”. Hôtel Latitude 43 (1930-1932), Saint-Tropez, vue partielle de la façade, n.d., cliché anonyme ©ENSBA, Cité de l’architecture & du patrimoine / Archives d’architecture du XXe siècle.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : Une voix singulière du mouvement moderne”. Hôtel Latitude 43 (1930-1932), Saint-Tropez, pers. aérienne ©ENSBA, Cité de l’architecture & du patrimoine / Archives d’architecture du XXe siècle.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : Une voix singulière du mouvement moderne”. Hôtel Latitude 43 (1930-1932), Saint-Tropez, affiche publicitaire, 1932, imprimerie Chachouin ©ENSBA, Cité de l’architecture & du patrimoine / Archives d’architecture du XXe siècle.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : Une voix singulière du mouvement moderne”. Centrale thermique au charbon Arrighi (1926-1931), Vitry-sur-Seine, étude pers. pour la porte d’entrée principale ©ENSBA, Cité de l’architecture & du patrimoine / Archives d’architecture du XXe siècle.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. Matrimandir, Auroville, Inde, 1970-2008 ©Auroville Foundation Archives.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. Architettura Interplanetaria, Superstudio ©D.R.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. Photographie des maquettes 2 et 1, 1965 ©NASA Langley Research Center.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. 20th Century Globe, Cosmic atomic power plant, dessin de Frank R. Paul ©D.R.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. Alex Schomburg, couverture de Science-fiction plus, n°2, 1953 ©D.R.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. Construction du globe de l’Office central du télégraphe Moscou, Arkady Shaikhet, 1928 ©Coll of Alex Lachmann-Courtesy of Nailya Alexander Gallery.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. Planétarium Zeiss en construction sur le toit de l’usine ©Zeiss Archives.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. Aerial Globe et Globe tower, Saint Louis World’s Fair et Coney Island, 1901-1908 ©D.R.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. Elisée Reclus, Globe terrestre au 320 000me pour l’Exposition universelle de Paris, 1900 ©Archives Nationales.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. Alfons Mucha, “Pavillon de l’Homme”, deuxième version, 1897 ©Galerie nationale de Prague.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. “Monumento colosal en memoria de Cristobal Colon”, Chicago et Paris, Scientific American (detail), 1890 ©D.R.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. Etienne-Louis Boullée, projet de cénotaphe de Newton, élévation géométrale ©BNF, Estampes et photographie.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. Modèle du globe céleste pour l’année 1700 par V. Coronelli. J.-B. Nolin, A. de Vuez ©RMN-Grand Palais-Thierry Le Mage.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. Francesco Piranesi, Pantheum (Panthéon), Raccolta de’ tempj antichi, vol 3, 1780 ©Universiteitsbibliotheek Gent.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Globes. Architecture et sciences explorent le monde”. Intérieur du Panthéon à Rome, Giovanni Paolo Panini, 1747 ©Cleveland Museum of Art.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Alvar Aalto, architecte et designer finlandais”. “Vase Savoy”, 1936 © Vitra Design Museum, Alexander von Vegesack, VG Bild-Kunst, Bonn, 2014.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Alvar Aalto, architecte et designer finlandais”. “Fauteuil Paimio Armchair N°41”, 1932 © Vitra Design Museum, photo: Jürgen Hans, VG Bild-Kunst, Bonn, 2014.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Alvar Aalto, architecte et designer finlandais”. “Aino Aalto sur la chaise Paimio”, photo montage, 1930s © Alvar Aalto Museum, Artek Collection, VG Bild- Kunst, Bonn, 2014.
Cité de l’Architecture et du patrimoine, exposition “Alvar Aalto, architecte et designer finlandais”. Finlandia, Concert Hall and Convential Centre, Helsinki, Alvar Aalto, 1962–1971 © Alvar Aalto Museum, photo: Rune Snellman, VG Bild-Kunst, Bonn 2014.
Musée en Herbe

23, rue de l’Arbre Sec, 75001 Paris,
Tél. 01 40 67 97 66
www.museeenherbe.com
Ouvert tous les jours de 10h à 19h.
Nocturne le jeudi jusqu’à 21h.
http://museeenherbe.com/les-amis-du-musee

 

Adhésion Amis du Musée (entrée illimitée jusqu’à 4 personnes par visite pendant 1 an) :
-Ami du Musée : don à partir de 100€
-Donateur du Musée : don à partir de 500 €
-Bienfaiteur du Musée: don à partir de 3000€

 

A voir actuellement :

-Ateliers à la loupe : “De Monet à Ai WeiWei : une exposition-
enquête de Damian Elwes”,
jusqu’au 9 septembre

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Musée en Herbe, Damian © Jerry Buttles.
Musée en Herbe, vue de l’exposition “De Monet à Ai Weiwei. Une exposition enquête de Damian Elwes”.
Musée en Herbe, vue de l’exposition “De Monet à Ai Weiwei. Une exposition enquête de Damian Elwes”.
Musée en Herbe, vue de l’exposition “De Monet à Ai Weiwei. Une exposition enquête de Damian Elwes”.
Musée en Herbe, vue de l’exposition “De Monet à Ai Weiwei. Une exposition enquête de Damian Elwes”.
Musée en Herbe, vue de l’exposition “De Monet à Ai Weiwei. Une exposition enquête de Damian Elwes”.
Musée en Herbe, exposition “De Monet à Ai Weiwei. Une exposition enquête de Damian Elwes”. “Atelier de Monet en 1902” © Damian Elwes, 2003.
Musée en Herbe, exposition “De Monet à Ai Weiwei. Une exposition enquête de Damian Elwes”. “Atelier de Keith Haring en 1988” © Damian Elwes, 2016.
Musée en Herbe, exposition “De Monet à Ai Weiwei. Une exposition enquête de Damian Elwes”. “Atelier de Giacometti en 1960” © Damian Elwes, 2015.
Musée en Herbe, exposition “De Monet à Ai Weiwei. Une exposition enquête de Damian Elwes”. “Atelier de Frida Kahlo en 1944” © Damian Elwes, 2007.
Musée en Herbe, exposition “De Monet à Ai Weiwei. Une exposition enquête de Damian Elwes”. “Atelier de Dali en 1953” © Damian Elwes, 2007.
Musée en Herbe, exposition “De Monet à Ai Weiwei. Une exposition enquête de Damian Elwes”. “Atelier de Cézanne en 1902” © Damian Elwes, 2007.
Musée en Herbe, exposition “De Monet à Ai Weiwei. Une exposition enquête de Damian Elwes”. “Atelier de Basquiat en 1983” © Damian Elwes, 2017.

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