Pour Emporio, Giorgio Armani imagine un vestiaire dynamique, facilement portable, pour le quotidien aussi bien que pour les grands soirs.

Chez Diesel Black Gold, c’est le penchant guerrier qui ressort de ces femmes, sexy à souhait.

La collection Emilio Pucci de Massimo Giorgetti est une véritable explosion de couleurs et de franges. Sa jet-setteuse de cliente, éternellement en vacances, trouvera à coup sur son bonheur.

Comme toujours, rédactrices, acheteuse et it-girls habituées des front row se sont prêtées au jeu des photographes. REvue en images, aux abords des défilés milanais

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Il n'y a que Miuccia Prada pour dompter simultanément le mohair, la laine bouclette et les plumes. Plus virtuose que jamais, la créatrice donne vie à une "glunge" bien dans sa peau, qui fréquente les galeries d'art en moon boots, casquette Gavroche et pantalon en velours côtelé.

La mode, futur élixir de longue vie ? Néo-Nicolas Flamel, Alessandro Michele ne transmute pas les métaux mais les vêtements : références à la Chine, aux mouvements street et punk, aux années 1970, au hard rock... Tout se mélange sans aucune règle pour créer un style hors du temps... mais pourtant furieusement tendance.

Pour sa première saison entièrement mixte, la maison Gucci entretient le mystère sur sa nouvelle collection automne-hiver 2017/18. A découvrir ici à 15h en même temps que le premier rang.

Immersion dans les coulisses du défilé automne-hiver 2017/18 de J.W. Anderson à Londres, et rencontre avec le surprenant créateur irlandais.

Ce sont les sept séquences musicales de "Fantasia" qui ont inspiré Mary Katrantzou cet hiver. De Casse-Noisette au Sacre du Printemps, la créatrice fait rêver avec ses fourrures bonbon, ses robes à imprimés archétypaux et ses souliers "chandeliers".

Pour les vingt ans de sa marque, Roland Mouret revient à Londres, là où tout a commencé. Tournée vers le futur, cette collection offre aux formes "Galaxy" de nouvelles perspectives : finitions en biais, matières organiques et couleurs fortes.

Très attendu, Johnny Coca met tout le monde d'accord avec une collection 100% british, entre le suranné et le pop. Blazers en tweed, couvertures équestres et vieux bijoux de famille s'offrent une seconde jeunesse, portés oversize avec des solaires clinquantes et d'épaisses chaussettes en mohair. Les sacs, tout droit débarqués du Somerset, évoquent la bagagerie Belle Époque.

Joueuse, la fille J.W. Anderson cache sa cotte de mailles sous un bombardier, et twiste le tout d’une paire de sneakers. Les courants et les styles se mélangent dans une effusion de matières nobles ou rustiques : soie, plumes, peau lainée, lurex… L’allure est décomplexée, moins intello que d’accoutumée.

Versus Versace a réveillé Londres, hier soir, avec une rave party donnée dans les sous-sols de l'Olympia West. Dédié à la "nouvelle génération", le vestiaire mélange sportswear, body-consciousness et inspirations techno ou tecktonik. Les pulls en maille peluche, portés par l'homme et la femme, feront date.

Simone Rocha dévoile sa face cachée, à mi-chemin entre les « Folk Songs » de Luciano Berio et la filmographie de Ken Loach. Le velours coupé est légion, nuancé par des robes en mousseline ou en damas brodées de roses, parfois rouges, souvent noires. Un casting intergénérationnel, mené par Marie-Sophie Wilson-Carr et Audrey Marnay, complète ce tableau austère mais sublime.