Fashion Week de Paris : ce qu’il faut savoir à propos des défilés à venir

Le temps d’environ une semaine et demie, la Fashion Week de Paris revient en force, attirant les aficionados de la mode et les célébrités les plus influentes des quatre coins du monde. Grandes Maisons et jeune création de partagent l’affiche, et promettent une saison automne-hiver 2025-26 des plus réjouissantes.

Le lundi 3 mars sera marqué par une journée dédiée aux designers de demain, entre audace et innovation. En effet, la Fashion Week s’ouvre avec Weisanto, connu pour son extravagance théâtrale et ses silhouettes sculpturales flirtant avec la performance. CFCL suit avec son approche futuriste du tricot, mêlant minimalisme et innovation durable. En clôture, Vaquera promet un show irrévérencieux où l’exagération et l’anti-conformisme redéfinissent le glamour.

Le mardi 4 mars, l’héritage et l’avant-garde seront mis à l’honneur : la journée commence avec Zomer, qui insuffle un minimalisme poétique et architectural à ses silhouettes épurées. Mame Kurogouchi, à 13h, sublime l’artisanat japonais avec des textures délicates et des coupes organiques. En point d’orgue, Christian Dior dévoile à 14h30 l’interprétation moderne de son élégance intemporelle, sous la vision de Maria Grazia Chiuri, entre féminité et empowerment. Undercover, à 17h, apporte une touche punk et onirique, mêlant références pop et déconstruction. Enfin, Alaïa clôt la soirée avec la sensualité sculpturale et intemporelle qui fait la force de la maison.

Le mercredi suivant, place à la modernité et aux réinterprétations innovantes de la mode ! Ce jour-ci, Courrèges ouvre avec son esthétique futuriste et épurée, réinventant les codes du minimalisme. À 12h, The Row célèbre un luxe discret aux coupes impeccables. Dries Van Noten, à 14h, explore le dialogue entre imprimés et couleurs dans un équilibre magistral. Plus tard, Acne Studios, à 17h30, propose son grunge sophistiqué aux finitions expérimentales, tandis que Balmain à 20h30 fusionne opulence et audace, revisitant le glamour couture avec une énergie contemporaine.

Le jeudi sera une journée sous le signe de la dichotomie, entre romantisme et subversion. C’est ainsi que Chloé ouvre la journée avec son vestiaire bohème empreint de féminité et de modernité durable. Rabanne, à 13h, joue avec les textures métalliques et l’héritage futuriste de la maison. À 17h30, Rick Owens impose son univers dystopique et brutaliste, entre volumes sculpturaux et expérimentations textiles. En soirée, Schiaparelli dévoile son imaginaire surréaliste, réinventant l’opulence couture avec des références artistiques fascinantes.

Le vendredi 7 mars, les Maisons jouent entre héritage et contrastes, avec des défilés toujours inventifs mais qui ne se ressemblent pas. À 11h, Givenchy mêle tailoring précis et féminité contemporaine. À 13h, Issey Miyake célèbre l’innovation textile avec ses plis iconiques et ses jeux de mouvement. Kenzo, à 17h30, fusionne culture pop et influences japonaises sous la direction de Nigo. Enfin, Yohji Yamamoto, à 19h, livre une poésie noire, entre drapés asymétriques et déconstruction radicale.

Pour ravir les invités le week-end, avant-garde et intemporalité seront de mise le samedi avec Junya Watanabe à 9h30, qui réinvente le tailoring avec des constructions audacieuses. Vivienne Westwood à 13h célèbre l’esprit punk et l’engagement écologique de la maison. À 17h, Comme des Garçons bouleverse les codes avec ses silhouettes conceptuelles. En clôture, McQueen, à 20h, allie romantisme sombre et puissance sculpturale.

Le 9 mars, on troque l’usuel brunch dominical pour un marathon mode entre modernité et expérimentation. Le matin, à 11h, Lacoste revisite le sportswear avec élégance. Valentino à 15h explore l’émotion couture avec des silhouettes d’une grande fluidité. Ottolinger, à 16h30, déconstruit le vestiaire contemporain avec une approche brute et avant-gardiste. Enfin, Balenciaga à 19h continue d’explorer l’excès et la subversion du luxe.

Avant-dernier jour de la semaine de la mode parisienne, le lundi 10 mars passera de la rigueur à la fluidité, et inversement. Sacai, à 10h, joue sur les hybridations et les silhouettes déconstruites. Marine Serre, à 12h, poursuit son engagement écoresponsable avec une mode visionnaire. Pierre Cardin, en soirée à 18h30, célèbre l’héritage futuriste de la maison, avant que Louis Vuitton à 20h clôture la journée avec un grand show alliant innovation et artisanat d’exception.

Enfin, le mardi 11 mars signe une clôture en puissance avec des Maisons attendues. Tout d’abord, Chanel, à 10h30, déploie son élégance intemporelle avec des réinterprétations de ses codes iconiques. Miu Miu à 14h continue de jouer avec une féminité espiègle et subversive. Enfin, Saint Laurent clôt la Fashion Week à 20h avec son aura entre sensualité sombre et tailoring d’une précision inégalée.

• Lundi 3 mars

Weisanto, 16:30
CFCL, 18:00
Vaquera, 20:00

• Mercredi 5 mars

Courrèges, 10:30
The Row, 12:00
Casablanca, 13:00)
Dries Van Noten, 14:00
Cecilie Bahnsen, 15:00
Stella McCartney, 16:00
Acne Studios, 17:30
Tom Ford, 19:00
Balmain, 20:30

• Jeudi 6 mars

Chloé, 10:00
Off-White, 11:30
Rabanne, 13:00
Christopher Esber, 14:00
Hodakova, 15:30
Uma Wang, 16:30
Rick Owens, 17:30
Schiaparelli, 19:00
Isabel Marant, 20:00

• Samedi 8 mars

Junya Watanabe, 09:30
Ludovic de Saint Sernin, 10:30
Noir Kei Niyomiya, 12:00
Vivienne Westwood, 13:00
Hermès, 14:30
Elie Saab, 18:00
Comme des Garçons, 17:00
Ann Demeulemeester, 18:30
McQueen, 20:00

• Dimanche 9 mars

Lacoste, 11:00
Niccolò Pasqualetti, 12:00
Duran Lantink, 13:00
Akris, 14:00
Valentino, 15:00
Ottolinger, 16:30
Atlein, 17:30
Balenciaga, 19:00
Coperni, 20:30

• Mardi 11 mars

Chanel, 10:30
Kiko Kostadinov, 12:30
Miu Miu, 14:00
Véronique Leroy, 15:30
Burc Akyol, 17:00
Ujoh, 18:30
Saint Laurent, 20:00