Où nager avec des Raies Manta?
Vous passez cette année derrière la caméra avec un court-métrage intitulé Judith Hôtel... Le passage à la réalisation en rêviez-vous depuis longtemps ?
Cela a commencé il y a environ trois ans. J’avais tenté de réaliser quelque chose, tourné en trois jours, un vrai tournage, avec de vrais acteurs, etc. Mais sur le banc de montage, j’ai réalisé que je n’avais pas de film. J’avais eu trop peu de temps pour le préparer. Et peut-être aussi que je n’étais pas prête, tout simplement, à raconter une histoire. J’ai quand même décidé d’en faire quelque chose en créant la bande-annonce d’un film qui ne sortirait jamais. Je l’ai projeté lors de ma première exposition à la Galerie cinéma où je présentais mes dessins et mes peintures. Mais le désir était ancré. Je savais qu’un jour je réessaierai. Je crois que j’attendais qu’une belle opportunité se présente. Et ce truc en or est arrivé, les Talents Adami : « Voici de l’argent, tu as carte blanche et tu as l’assurance que cela sera projeté la première fois à Cannes devant un public. » C’est presque irréel. Evidemment, je ne pouvais pas refuser et j’ai foncé.
Celestina Agostino ? Une référence pour les initiés. Depuis plus de vingt ans, au cœur du 6e arrondissement parisien, la créatrice imagine des robes de mariée sur mesure, versatiles et somptueuses qui séduisent les modeuses les plus averties. Véritable miroir de la personnalité de la future mariée, la création signée Celestina décline tous les univers, de l’épure la plus sobre à une bohème plus audacieuse. Matières précieuses, savoir-faire couture, si Celestina Agostino refuse de se cantonner à un style elle est intransigeante sur l’importance des tissus et sur une approche ultra-personnalisée de la conception. Véritable créatrice de mode, elle réinterprète la robe blanche sous toutes les coutures pour un résultat indéniablement unique.
Pour qui ? Celles à la recherche d’une création qui les révèle, celles qui cherchent une robe reflet de leur style.
C’est au sein de la ligne "Moonlight" du label, nouvelle gamme traçant les contours d’un vestiaire festif, nocturne et résolument rock, qu’Emily Ratajkowski a révélé les nouveaux modèles – en édition limitée – de ce sac désormais iconique. On les découvre en cuir embossé façon alligator, avec des motifs léopard ou encore façonnés dans un velours doux et piqué d’abeilles dorées.
Pourquoi avoir choisi de “bousculer” le diamant ? C’est-à-dire d’affranchir cette pierre classique des conventions habituelles en termes de volume, de design et de présence.