Pop Culture

Ariana Papademetropoulos, la pythie de Pasadena

De son atelier californien niché dans un garage de vieux manoir hanté, Ariana Papademetropoulos explore notre rapport au réel avec des toiles mêlant réalisme et trompe-l’œil. Des toiles qu’elle met en scène dans des installations déconcertantes, ainsi que sur son compte instagram, où 15 000 followers suivent ses aventures fantasques, entre le Los Angeles de James Ellroy et le Pays imaginaire de Peter Pan…
furniture bed
Ariana dans la maison de Tony Duquette à Los Angeles.
“Mes toiles représentent une certaine utopie : de parfaites maisons avec des intérieurs très travaillés, où l’on trouve toujours un détail étrange ou quelque chose de mystique. Je suis attirée par ce qui dérange, et le design intérieur me fascine dans ce qu’il a d’à la fois banal et significatif.” Ariana Papademetropoulos
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Best thing about not dating a scientologist is that I can do acid again, peinture grand format d’Ariana Papademetropoulos, 2017.
Nude, Pensive, peinture grand format d’Ariana Papademetropoulos, 2016.
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Installation d’Ariana Papademetropoulos lors de l’exposition “The man who saved a dog from an imaginary fire”, à la Wilding Cran Gallery de Los Angeles, fin 2017 (photo courtesy).
Ariana Papademetropoulos dans la maison du célèbre décorateur et joaillier hollywoodien Tony Duquette (1914-1999), à Los Angeles.

Photographie par Sam Kristofski

Cet article est actuellement visible dans le numero de mars du Jalouse 

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