Icône de l’autre côté du Channel, l’ingénieur et designer anobli pour avoir promu le savoir-faire made in England est la rockstar de l’univers ménager (le CA de Dyson a bondi de 45 % en 2016 pour atteindre 2,9 milliards d’euros). Ce chef d’entreprise conquérant était à Paris pour présenter sa nouvelle gamme de produits. L’occasion de discuter processus créatif, échec, ainsi que recherche et développement.

Il est dans le top ten mondial des personnalités les plus bankable, et c’est un peu l’homme à “signer” pour des marques en pleine poussée d’adolescence désireuses de courtiser les moins de 25 ans. Et tout ce qu’il touche fait recette.

Carrière multiprimée, vie privée chromée, musique enveloppante... il a tout du gendre américain idéal. Mais derrière le sourire, on trouve un homme qui ne cherche à dissimuler ni ses origines, ni ses engagements.

Surnommé “le punk britannique de la tradition française”, ce designer atypique, diplômé d’Oxford, est doté d’un flair esthétique imparable. Paris, Reims et Strasbourg lui doivent déjà la décoration de plusieurs bars et restaurants.

“Je copie donc je suis” : tel pourrait être, à première vue, le mantra animant les créations de l’artiste italien. C’est bien sûr plus compliqué et excitant que cela…

Du haut de ses 20 printemps, Jaden Smith a déjà un curriculum vitae long comme le bras, quoique fantasque. Le voilà, en plus de son agenda de ministre, intronisé collaborateur pour la marque hype néerlandaise.

Dans Sauver ou périr, Pierre Niney perd un de ses atouts, sa belle gueule, en pompier défiguré lors d’une mission à risque. Mais le talent, lui, reste intact et ce flamboyant mélo ne fera pas sangloter que les filles. Émouvant donc, tout comme vif et drôle, l’acteur de 29 ans s'entretient avec L’Officiel.

Matches Fashion vient de bluffer tout le monde en ouvrant à Londres un lieu communautaire inédit, prolongement physique – et avenir ? – du e-commerce de luxe. Quand, en 2012, Ulric Jérome, 36 ans à l’époque, rencontre par hasard Ruth et Tom Chapman, le couple fondateur des boutiques londoniennes Matches Fashion, il est loin de se douter de l’incroyable aventure qui l’attend. Et pourtant, à l’entendre la raconter aujourd’hui, on se dit qu’il savait déjà forcément où il allait. 

À l'heure où la mode se met doucement au green, est-il encore raisonnable d'avoir un bout de plastique sur le dos ?

“Il faut s’aimer, et puis il faut se le dire, et puis il faut se l’écrire, et puis il faut se baiser sur la bouche, sur les yeux, et ailleurs”, décrète Victor Hugo dans une lettre à sa maîtresse Juliette Drouet. En ces temps de puritanisme, de peur et de coït par clavier interposé, les paroles du poète n’ont jamais semblé autant d’actualité. Au Louvre-Lens, une exposition ambitieusement intitulée “Amour” reprend cette exhortation, en explorant les mille et une façons dont le sentiment humain le plus fort s’est exprimé depuis l’Antiquité. Si Victor Hugo était disponible pour commenter, il aurait sans doute ajouté : “Il faut y aller”.

Masseur star, masseur des stars, sans doute. Mais aussi et surtout un artisan du genre, avec une vision précise de son art. Il nous raconte son parcours singulier.

Nommé directeur de création pour Maison Margiela, le designer britannique John Galliano a signé en janvier 2018 sa première collection masculine pour la marque, confirmant son retour en grâce. Dans une longue conversation, il nous éclaire sur ses nouvelles inspirations.