Hommes
Arnaud Valois : "Le cinéma, pour moi, c’était mort et enterré"
“120 larmes par minute”. C’est ainsi que le Festival de Cannes a rebaptisé le film
de Robin Campillo, 120 battements par minute *, après sa projection officielle en mai dernier. À l’arrivée : standing ovation, émotion palpable, critiques dithyrambiques, et... Grand Prix du Jury. Difficile de sortir indemne d’une telle expérience pour Arnaud Valois, l’un des deux interprètes principaux du film.